J'étais assis par terre – sur un chemin de campagne désert – à regarder les nuages et les fleurs sauvages lorsque Dieu m'a tendu la main. Je l'ai saisie et il m'a projeté si haut dans le ciel que mon âme a touché les étoiles.
Quelques lignes par jour. Voilà qui est suffisant... Habiter le ciel dans la simplicité des heures contente mon âme. L'écriture vient par surcroît. Comme une modeste offrande à la terre. Et un geste maladroit – une pauvre main tendue vers les hommes.