L’air est enfin piquant Au sommet du chemin, le ciel est immense Chiffons déchirés de lin, Les nuages s’étirent au loin Moutonnements, rougeoiement Le soleil se couvre L’ombre couvre la pointe des collines Pierres dorées des villages qui luisent Buissons encore verts de baies Un printemps à l’envers