Résumé
En poésie qu’appelle-t-on un rondeau bâtard, une vendition, un muzain ou une riqueraque ? Pourrait-on utiliser d’autres formes de poèmes étrangers que le haïkou japonais ou le pantoum malais, par exemple le sadja ou le ghazal arabes et persans ?
De quels outils, non pas nouveaux, mais moins exploités pourrait-on faire usage pour composer un poème ?
Et pourquoi pas créer de nouvelles formes de poèmes ?
Les réponses à ces questions constituent la matière de cet essai qu’émaillent quelques réflexions sur le fond : qu’est-ce que la poésie ?