Résumé
Comme l’eau qui s’écoule, ainsi s’enfuit ma vie.
Mes os sont desséchés comme argile pétrie.
Comme la cire en moi, je sens fondre mon cœur.
Tandis qu’autour de moi persiflent les moqueurs.
Comme l’eau qui s’écoule, ainsi s’enfuit ma vie.
Ils ont percé mes mains, mes pieds ils ont cloué.
Mes os sont disloqués et mes muscles roués.
Des soudards avinés disputent ma tunique,
Jouant mes pauvres hardes en un concours inique.
Ils ont percé mes mains, mes pieds ils ont cloué.
Des poésies sacrées et profanes. Des sonnets, des rondeaux, des ballades, des haïkus, des fables, des psaumes.
Les Actes des apôtres…