Les cités aux charmes merveilleux, tôt ou tard, sous contrôle ou pas, finissent toutes par devenir des lieux de perdition, de débauche. Stockholm échappe-t-elle à cette règle? Pourquoi une telle attirance de ma part vis-à-vis de cette ville où ses habitants n’ont rien d’exceptionnel si ce n’est qu’un profond désir de le devenir, d’évoluer sublimement. (extrait)