Nilolaï Tsouliakov était un homme libre. Il avait pourtant deux passions. Écrire et marcher. Écrire de petits poèmes. Et marcher à travers les steppes. Écrire, disait-il, c’est le seul remède efficace, susceptible de soulager momentanément mes brûlures, les brûlures de la vie. Et marcher, le seul moyen pour acquérir ce remède. (extrait)