Résumé
Il parait qu'un poète, pour atteindre le sublime de son art, doit souffrir. Lysette nous prouve le contraire, car trahie par son mari qui, lorsqu'elle a découvert les propos qu'il échangeait avec une jeunette, lui a déclaré qu'il ne savait pas encore si cette relation allait marcher, négligeant les liens maritaux qui le liaient encore avec notre Lysette bien embêtée de l'obliger de quitter le domicile conjugal sans attendre une hypothétique réponse encourageante de celle destinée à lui succéder ; notre Lysette lyrique ne parvient toujours pas à rimer magnificence avec quintessence, mais bien falaise avec chaise. Si vous cherchez de la souffrance ventriculaire gauche (le droit manquant de souffle), bienvenue chez Lysette.