Résumé
"Ô mon cœur, ma seule erreur
Était de vivre sans penser
À tout ce qu’il me restait encore à faire,
Et à présent qu’est venue l’heure
De partir, tant de regrets
M’aveuglent étrangement de leur lumière."
Le temps qui passe, les fantômes qu’il faut accueillir, les regrets, la difficulté d’exister, mais aussi l’innocence, le rêve et le souvenir... Ces dix-huit poèmes qui composent « Saules pleureurs » résonnent tantôt comme un voyage baigné de lumière et d’obscurité, tantôt comme une longue et apaisante méditation sur l’âme humaine.