Résumé
De nombreux écrits relatent « l'Affaire de Rennes le Château » – mais bien peu portent un sincère intérêt à l'individualité du curé. Ces lacunes sur sa vie tant « mystifiée » ont donc amplement déformé son histoire. Il en résulte une méconnaissance réelle de son individualité : par exemple, le portrait de son frère Alfred est véhiculé à la place du sien et la personnalité du curé au tempérament volontaire et énergique, ne correspond en rien au type de tempérament de ce portrait qui en est un reflet inversé. L'ironie du sort fait à Bérenger post mortem, nous amène jusqu'à dire que le « fantôme » de son frère cadet prend la place du premier, « François » – autrement dit « un fantôme en cache un autre… ».