Tu veux que je t’écrive ? Je t’écrirai toujours Quand la passion mourra, quand mon cœur sera lourd Pour ne pas oublier ce rêve de velours Pour ne pas oublier, combien c’est beau l’amour. Fédyne
Je resterai ta muse, toi, une part de mon âme, Le trop plein de tendresse qui n’est pas exploité, Qu’importe les bien-pensants qui, cet amour, condamnent, Même le temps d’un rêve, aimer reste toujours aimer. Ainariel