Résumé
[4ème de couverture]
Ecrire n'est ni plus ni moins que le contraire de parler.
On parle dans l'urgence d'une nécessité momentanée.
Lorsque la prose 'se sert des mots', la poésie 'sert les mots'.
Cette dernière considère les mots comme un matériau, tout
comme le peintre avec la peinture ou le musicien avec les sons.
Mettre des mots sur ce qui nous touche ' des mots retenus
qui suggèrent, qui nous donnent à voir le monde, à nous arrêter dans un instant suspendu ' permet de laisser exister les choses telles qu'elles sont.
Si toute chose en ce monde est évanescente, la poésie est un
fragment d'émerveillement dans lequel s'ancrent nos émotions.
G. D.
Graziella Dupuy est née à Saint-Etienne dans le département
de la Loire (France). Après avoir travaillé comme animatrice radio, elle s'installe en Auvergne en février 1987. Titulaire d'un diplôme d'éducateur, elle exerce depuis vingt ans dans une institution d'accueil de personnes souffrant de handicap mental.
En parallèle, elle aborde en gestes délicats les arts picturaux
(encres, aquarelles influencées par l'Asie) et l'écriture au travers du « haïku », genre de poésie concise originaire du Japon.
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[contenus et illustrations]
Illustré de 35 encres aux apparences sensibles et retenues, le recueil aborde au travers du haïku (poésie concise d'origine Japonaise) six chapitres thématiques : Amour, Hiver, Printemps, Eté, Automne, Lune.
Graziella : « Si toute chose en ce monde est évanescente, le haïku est un fragment d'émerveillement dans lequel s'ancrent nos émotions. Ici le haïku saisit la richesse, la beauté au fil des saisons, des lunes et de l'amour captant le moindre frémissement. »
Graziella Dupuy nous convie à nous laisser aller selon notre propre perception des choses et notre humeur du moment'
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