Résumé
Conclusion.
S’il n’avait pas violé ma mère, je n’existerais pas…
Il a violé ma mère et je n’existe plus…
Je suis… je vis… plutôt j’essaie de vivre encore. C’est difficile de faire comprendre que l’on vit à cause d’un viol… qu’on est le fruit d’une violence, qu’on n’est pas fait d’amour… Les mots ce jour-là, c’était des mots sales, des insultes dégueulasses…
Ce n’est pas votre histoire et quelque part, vous avez raison. Il ne sert à rien de s’apitoyer sur une petite branleuse qui se vend dans un livre… mais vous ne pouvez pas comprendre… ce n’est pas un livre…