Résumé
Si l'honneur d'avoir, aux pays anglo-saxons, fait entrer dans la lumière le nom d'Omar Khayyam incombe au spécieux et charmant poème de Fitz-Gerald, ce que l'on connaît en France touchant la vie et les concepts du gnomique de l'Iran, tient à peu près dans l'étude que M. J.-B. Nicolas, ex-premier drogman de l'ambassade française en Perse, publia vers 1867, par ordre de Napoléon III, en même temps qu'une traduction ' la première ' des Quatrains du poètes.