Résumé
I. LA VILLA PAMPHILI. Rome, 25 mars 185. La villa PAMPHILI n'a pas été abîmée dans les derniers évènements, comme on l'a dit. Ni Garibaldi, ni les Français n'y ont laissé de traces de dévastation sérieuse. Ses pins gigantesques sont, en grande partie, encore debout. Elle est bien plus menacée de périr par l'abandon que par la guerre, car elle porte l'empreinte de cette indifférence et de ce dégoût qui sont, à ce que l'on me dit, le cachet général de toutes les habitations princières de la ville et des environs. C'est un bel endroit, une vue magnifique sur Rome, l'AGRO ROMANO et la mer. De petites collines, un peu plantées, chose rare ici, font un premier plan agréable. Le palais est encore de ceux qui résolvent le….