Résumé
La conscience, c'est un continent qui s'explore. Si on creuse un trou assez profond, on verra bien le feu central surgir. On, ce peut être le traducteur, le méditant, le penseur, le liseur d'aventure, le diseur de chemin. Aux quatre coins de cette terre inventée, les lacis se nouent et poussent la dérive, car la pensée continue, nonobstant. Et pas d'hiver, ce qui fait que les arbres tiennent leurs feuilles dans les limites de cet espace. C'était le journal des fées d'hiver. Se questionner alors sur le pas de l'âne au bord du précipice, qui, pas un caillou ne fait bouger. C'est parce que c'est l'origine de cette parole, dont on ne touche pas un verset, et il faut savoir qui tient son pouvoir, dont le fouet du sens claque et provoque la partition de cet espace.