Gaël Caudoux
210715
Reliures : Dos carré collé
Formats : 11x17 cm
Pages : 147
Impression : Noir et blanc
N° ISBN : 9782491014193
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Un roman mystérieux, sombre et poétique qui a titillé mes profondeurs. La boue en ébullition, entre amour et désespoir pour atteindre des dimensions plus hautes ! je n'ai pu m'empêcher d'y percevoir de l'alchimie !
Je l'ai dévoré de mes crocs affamés de lycanthropes. Sevré depuis un certain temps de tes écrits, j'attendais avec impatience de découvrir la tant désirée Seybelane.
Je ne te cache pas que c'est avec envie que j'avais hâte de me replonger dans cette écriture si singulière. On est loin des écrits stéréotypés et aseptisés que l'on peut rencontrer aisément. Lire Gaël Caudoux est à chaque fois une épreuve de fond et non un sprint tant les méandres de ses pensées sont insaisissables. Nous pauvres lecteurs devons nous accrocher et avancer sans repère dans cette jungle de maux qui se mérite.
Assez de s'astiquer avec des mots et revenons donc à l'essentiel: Seybelane et ses compagnons de route.
J'ai vraiment aimé et j'ai bien compris les liens avec Sommeil néanmoins, je ne cache pas que la première lecture en incite une seconde pour percer tous les subtilités de ce délire maniaque de pensées névrotiques.
Seybelane est-elle le fruit de l'imagination de ces pauvres fous ou existe-elle vraiment? Et si oui, pourquoi? J'avoue que j'ai des interrogations et je sais que son livre a été écrit comme les précédents en laissant divaguer l'esprit du lecteur dans une nébuleuse hallucinatoire mais la frontière entre le réel et la fantasmagorie a été difficile à cerner.
J'ai été frustré car je me suis trouvé face à une schizophrénie nourrie de fantastique que je ne maîtrisais pas totalement. Une lecture supplémentaire ne sera pas de trop pour y voir plus clair.
Une fois de plus, je constate que Gaël est davantage un poète qu'un écrivain. Attention, n'allez pas vous méprendre, je ne juge pas son talent d'écriture, c'est juste que subjectivement, je trouve que ses mots se conjuguent à la poésie noire, crue et froide de sentiments viscérales.
En fait, je trouve que quoiqu'il écrive, il se dégage une poésie. Alors certes, on est bien plus proche de Lautréamont que de Jean de La Fontaine mais le noir c'est plus cool comme couleur!
Je l'ai dévoré de mes crocs affamés de lycanthrope. Sevré depuis un certain temps de ses écrits, j'attendais avec impatience de découvrir la tant désirée Seybelane.
Je ne cache pas que c'est avec envie que j'avais hâte de me replonger dans son écriture si singulière. On est loin des écrits stéréotypés et aseptisés que l'on peut rencontrer aisément. Le lire est à chaque fois une épreuve de fond et non un sprint tant les méandres de ses pensées sont insaisissables. Nous pauvres lecteurs devons nous accrocher et avancer sans repère dans cette jungle de maux qui se mérite.
Assez de s'astiquer avec des mots et revenons donc à l'essentiel: Seybelane et ses compagnons de route.
J'ai vraiment aimé et j'ai bien compris les liens avec Sommeil néanmoins, je ne cache pas que la première lecture en incite une seconde pour percer tous les subtilités de ce délire maniaque de pensées névrotiques. Seybelane est-elle le fruit de l'imagination de ces pauvres fous ou existe-elle vraiment? Et si oui, pourquoi? J'avoue que j'ai des interrogations et je sais que son livre a été écrit comme les précédents en laissant divaguer l'esprit du lecteur dans une nébuleuse hallucinatoire mais la frontière entre le réel et la fantasmagorie a été difficile à cerner.
J'ai été frustré car je me suis trouvé face à une schizophrénie nourrie de fantastique que je ne maîtrisais pas totalement. Une lecture supplémentaire ne sera pas de trop pour y voir plus clair.
Une fois de plus, je constate que Gaël est davantage un poète qu'un écrivain. Attention, ne vas pas se méprendre, je ne juge pas son talent d'écriture, c'est juste que subjectivement, je trouve que ses mots se conjuguent à la poésie noire, crue et froide de sentiments viscérales. En fait, je trouve que quoiqu'il écrive, il se dégage une poésie. Alors certes, on est bien plus proche de Lautréamont que de Jean de La Fontaine mais le noir c'est plus cool comme couleur!