Une vie traversée par des voies de chemin de fer, et des routes, immuables. Des trains de banlieue qui les ratissent, et des gares qui se vident comme des citrons pressés.
Je n’ai pas peur de regarder en arrière Je me morcelle et me mélange A un subtil losange De pierre
Je prends à chaque moment isolé Un peu de moi-même Livré au souvenir