GEORGES GOOSSENS

LES TORTUES

Sophie attendait l'arrivée de Madame Deville. Elle l'attendait avec appréhension. Madame Deville n'était pas méchante. Si elle était exigeante dans le

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74637

Reliures : Dos carré collé

Formats : 11x17 cm

Pages : 112

Impression : Noir et blanc

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Résumé
Sophie attendait l'arrivée de Madame Deville. Elle l'attendait avec appréhension. Madame Deville n'était pas méchante. Si elle était exigeante dans le travail, elle était toujours polie et aimable. Pourtant Sophie ne pouvait plus la supporter. A la seule idée que 10 heures arrivait et que Madame Deville allait bientôt franchir la porte du bureau, resplendissante de beauté, parfaitement habillée, maquillée et coiffée, lui donnait des boutons. Elle exécrait tout ce que représentait la secrétaire du professeur. Madame Deville avait tout : elle avait l'intelligence, la beauté, la santé, une vie intéressante et agréable. Une retraite confortable et les revenus des biens accumulés au cours de son existence la mettaient à l'abri de tout problème matériel. Mais surtout Madame Deville avait la jeunesse, car grâce à l'injection régulière depuis 40 ans de l'hormone de croissance vitalisante, mise au point par le professeur, elle paraissait 35 ans alors que sa carte d'identité en affichait 72. Elle paraissait presque plus jeune que Sophie qui n'en avait pourtant que 31. Sophie n'avait pas les moyens de s'offrir le traitement du professeur, ce qui, ajouté à ses conditions de travail harassantes, la faisait paraître plus que son âge.
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