C’est une enclave cachée de tous les regards. Seuls les rayons du matin et les reflets du soir parviennent à s’y glisser parfois. C’est un coeur nu qui dort sur le flanc et laisse au jour voir le fond de ses entrailles. C’est l’enfant tranquille qui s’est trouvé une cabane, loin dans la forêt là où nul ne vient jamais.
Ces poèmes sont l’oeuvre de la poésie traversant mon être. C’est à l’occasion de l’émoi poétique que ces mots m’apparaissent. Ce sont « les oeuvres de la poésie ».