Résumé
A mon départ de Quimper pour le front, j'ai eu l'idée d'acheter un petit calepin (2 sous à l'époque) pour y noter les impressions de la nouvelle vie qui allait commencer.
J'aurais pu disserter sur la vie misérable du poilu, ses poux, ses cafards, sa mort brutale, ses bons et mauvais moments, car il y en a eu de bons, au repos quand le pinard était de la partie.
Il me reste à souhaiter que mes descendants ne connaissent le retour des ces tristes années au beau temps de notre jeunesse.