Résumé
Jean-Joseph Carl dit que son besoin d’écrire est devenu, au fil du temps, impérieux et vital. Il dit qu’il veut se délester de la banalité, qu’il cède à l’attrait des profondeurs, que sa poésie est peinture et parfum, flamme et trouble, qu’elle est comme la pluie sur les roses ou comme le vent de ses poumons soufflant la poussière d’un miroir. Il puise dans sa vie, sa terre, son enfance, son village bien-aimé, ses voyages, sa fantaisie, bien sûr. Et sa fragilité intime, ses illusions cent fois déçues transpirent des vers qu’il écrit à l’encre virginale et paradoxale. Et c’est beau !
Ce volume réunit la plupart des poèmes qu’il a composés de 1993 à 2006. Certains ont été primés à des concours de poésie. Par exemple,[...]