Le titre, Les forêts sombres de vivre, nous avertit déjà d’une certaine noirceur. En le lisant on comprendra que cette noirceur n’épargne rien ni personne et qu’elle touche le cœur du verbe Vivre. Passè le premier degré de lecture, on constatera que cette noirceur touche aussi l’humour corrosif des sonnets de Sonnet n’est pas jouer et qu’il s’agit pour l’auteur de l’exprimer d’une autre manière.