Les éboueurs du désamour

« C'est une histoire en quatre saisons, les saisons de la vie. Une histoire qui fait assaut de sentiments débordant de sensualité, où le c??ur et le corps se tiennent.
En tête, deux épigraphes : la « vague » de Saint-John Perse, qui monte « jusqu'à nous », et la « peau » de Valéry, surface et profondeur de l'homme. Entre la vague et la peau, le poète parle et ses mots ont les couleurs que l'épiderme et l'eau de mer prennent aux différentes heures du jour. Mots penseurs et rêveurs, mots sensuels et charnels : ce sont eux, les « éboueurs », images sonores du réveil. »

Extrait de l'avant-dire d'André Guyaux, professeur de littérature française à la Sorbonne.