Le banc est désormais vide Rien n’arrêtera l’absence L’empreinte est gravée dans la pierre Le chemin est témoin du passage Des traces des pas qui s’effacent Il s’en est allé le cœur léger Vers le ciel et les contrées infinies Dans la mémoire restent les souvenirs La lumière et les éclats de rires Le visage avec le sourire De mon père.