Résumé
Après la mort du Président Alexandre Sabès Pétion dans la république de l'Ouest en 1818 et la chute du Roi Henry Christophe dans le royaume du Nord d'Haïti en 1820, le pays a connu un déclin et des bévues politiques sans précédent. Avec la montée au pouvoir du Président Jean-Pierre Boyer, les bavures semblent multipliées et la souveraineté du pays hypothéquée suite à la demande du Roi Charles de France de son indemnité de 150 millions de francs imposés au gouvernement de Boyer pour la reconnaissance de l'indépendance du pays malgré l'unification de l'ile entière. Suite à la démission du Président Boyer en 1843 devant le sénat après 25 ans passé au pouvoir, le règne de la violence politique a vu son jour au cours duquel 5 Présidents éphémères firent en moins de 4 ans de petites passes courtes et le règne de l'exil politique bat son plein. En 1847 Faustin Soulouque fut élu président et en 1849 couronné Empereur d'Haïti et son règne prendra fin en 1860 et partit pour l'exil. Avec la montée au pouvoir du Président Geffrard après l'exil de l'Empereur Faustin, la comédie politique recommencera encore au cours de laquelle plusieurs Présidents ont cautionné le théâtre de 1860 à 1957 jusqu'à l'élection du Président François Duvalier de 1957 à 1971, puis son fils après sa mort Jean-Claude Duvalier de 1971 à 2014, une période au cours de laquelle Jean-Claude Duvalier après avoir pris l'exil pour la France le 7 Février 1986 a laissé la cigarette politique allumer en ses deux pointes faisant place aux fameux ravisseurs et oppresseurs démocratiques ou démoncratiques font la démagogie politique qui consume le pays dans un chaos politique infernal et exécrable.
Ainsi, ce deuxième tome de cet ouvrage intitulé : « Le Président & le kidnapping » est la suite du premier tome publié en 2011 retraçant l'ère du royaume du Nord où la convivialité y régnait. Ce Deuxième Tome retrace la pagaille du règne de Boyer en passant par Faustin 1er à François Duvalier puis à son fils Jean-Claude Duvalier et jusqu'à aujourd'hui 2014 son hombre semble continué à briller'
Extrait du Premier Chapitre:
L'aventure de Jean-Pierre Boyer et sa Femme face à l'Intrigue du Roi Charles de France.
...On est à la veille de 1843 ! La veille du règne de Jean-Pierre Boyer le poltron qui dirigeait l'ile entière en imbécile et idiot. Après avoir fermé toutes les écoles du Nord, comme pour tuer le rêve vital de notre chère Haïti qui devrait être similaire à celui du rêve américain, suite à la chute de notre bon roi idéaliste Henri Christophe et versé des rançons inutiles pour le gage de l'indépendance acquise par le sang de nos Héros, lui et ses ravisseurs sans scrupules et sans vergognes ont hypothéqué la souveraineté du Pays qui se débouchera sous une comédie politique à perpétuité où la pièce théâtrale est jouée comme on change des sous-vêtements après sa dite démission au pouvoir. En termes d'une vie politique de poltron pendant 25 ans de 1818 à 1843, il n'y en était pas si pragmatique. Nos fameux Héros notamment Henry Christophe, Dessalines, Pétion, Toussaint Louverture, Maurepas, Boisrond Tonnerre, Cappoix, devraient-ils ressusciter et ressusciteront évidemment de leurs tombeaux de silence pour réapprendre à lui et aux autres les leçons de bravoures, de courage et de fierté.
En effet Boyer n'était encore pas allé à une ligue quand avant qu'il soit dans une vallée politique que la partie de l'Est de la république Dominicaine (Saint-Domingue) demanda volontairement à se mettre sous son gouvernement en 1822. Et l'ile ne forma qu'un seul Etat jusqu'en 1844. A l'horizon, pendant qu'il vacilla dans un désert politique fragile et piégé, où il voyait venir cinq autres chevaliers voleurs et kidnappeurs, avec des lances dans le repos, boucliers tenus étroitement dedans sur le cou, et leurs casques brillants ont lacé vers le haut fortement ; ils étaient aussi sur le pillage plié. Leurs véritables missions étaient d'imposer farouchement l'indemnité sous caution de 150 millions de francs. D'un seul trait ils ont vu la femme de Boyer s'approcher responsable des trois chevaux de chars blindés, et Boyer qui l'a suivie ensuite. Dès qu'ils les ont vus, ils ont divisé leur équipement parmi eux-mêmes, juste comme s'ils avaient déjà pris la possession d'elle. La concupiscence ou l'appétence est une infecte chose. Mais elle ne s'est pas avérée comme ils ont prévu ; car la défense vigoureuse a été faite avec la malice invisible de nos Héros vigilants qui surgissent dans le silence lointain. Tout ce qu'un imbécile, un voleur, un kidnappeur projette ne pas toujours s'exécute, et le méchant fait toujours un travail qui le dupe et le trompe d'une façon ou d'une autre. Ainsi, c'est ce qui leur a arrivé dans cette attaque de voleur et de pillage.
L'un a indiqué qu'il prendrait la bonne ou perdrait sa vie dans la tentative ; et d'autres ont indiqué que le cheval bigarré blindé serait à lui, et qu'il en sera satisfait. Le tiers a indiqué qu'il prendrait le cheval noir blindé. "Et le blanc pour moi," a indiqué le quart. Le cinquième n'était pas du tout en arrière, et voué qu'il aurait le cheval et les bras du chevalier lui-même. Il a souhaité les gagner tout seul, et l'attaquerait volontiers d'abord, s'ils lui donneraient le congé : et ils ont volontairement donné le consentement. Alors il les laisse et monte en avant sur un bon et endiablé cheval-blindé. Boyer l'a vu, mais a fait la prétention qu'il ne l'a pas encore noté. Quand la femme de Boyer les a vus, son c??ur a gambadé avec la crainte et grande consternation. "Hélas!" dit-elle, "je ne sais pas quoi dire ou ; car mon seigneur Boyer me menace sévèrement, et dit qu'il me punira, si je lui parle un mot. Mais si mon seigneur Boyer était mort maintenant, il n'y aurait aucun confort à moi. Je devrais être tuée et rudement traitée. Déité ! Mon seigneur Boyer ne les voit pas ! Pourquoi est-ce que j'hésite alors que je suis folle ? Je suis en effet trop prudente de mes mots, quand démuni de moi j'ai déjà parlé à lui. Je sais assez bien que ceux qui viennent là-bas sont attentifs sur un certain contrat mauvais. Ils sont peut-être des estafettes du Roi Charles de France si je ne m'abuse pas ! Et Dieu ! Comment est-ce que je dois lui parler ? Il me tuera. Bien, laissez-le me tuer ! Pourtant je ne manquerai pas de lui parler." Alors elle l'appelle doucement : "père!" "Ce qui?" lui dit, " que voulez vous?" "Votre pardon, père. Je veux vous dire que cinq chevaliers kidnappeurs ont émergé là-bas du bosquet de la capitale haïtienne, duquel je suis dans la crainte mortelle. Après les avoir notés, je suis de l'opinion qu'ils ont l'intention de vous combattre, de piller vos richesses, votre territoire et quoi d'autres. Ils sont comme les hommes politiques qui n'ont ni c??ur, ni foi ni loi et c'en a été votre sentence et pénitence pendant tout votre règne et gouvernance pendant plus que 21 ans. Ils ne se lassent pas de vous dérober et dépouiller come un vaut-rien, pardonnez-moi l'expression si elle est lourde d'entendre. Quatre d'entre eux sont restés derrière, et l'autre vient vers vous aussi rapidement que son cheval blindé peut le porter. J'ai peur qu'il ne vous tortille pas. 'C'est vrai, les quatre autres sont restés derrière ; mais ils ne sont toujours pas partis lointain, et l'aideront rapidement, si le besoin se fait sentir.
" Ainsi Boyer lui répond : "vous avez eu une pensée mauvaise, quand vous avez transgressé ma commande -- une chose que je vous avais interdite. Mais j'ai su toute l'heure que vous ne m'avez pas tenu dans l'estime. Votre service a été défectueusement utilisé ; car il n'a pas réveillé ma gratitude, mais a plutôt allumé ma colère. Je vous ai dit cela une fois, et je l'indique encore. Ceci de nouveau je vous pardonnerai ; mais quand une autre heure se retient, ne tournez pas encore autour de moi pour m'observer : car de cette manière vous soyez très idiote. Je ne goûte pas vos mots." Puis clignote des dents à travers le champ vers son adversaire, et ils viennent ensemble. Chacun cherche et envahit l'autre. Boyer le frappe avec une telle force que son bouclier vole de son cou, et il casse ainsi son collier-os. Ses étriers se cassent, et il tombe sans force pour se lever encore, parce qu'il a été mal meurtri et blessé. Un des autres est alors apparu, et ils s'attaquent violemment. Sans difficulté Boyer pousse le dièse et l'acier bien forgé dans son cou sous le menton, divisant de ce fait les os et les nerfs. Au fond de son cou la lame dépasse, et le sang rouge chaud circule vers le bas sur les deux côtés de la blessure. Il rapporte son esprit, et son c??ur est immobile. Le troisième salie en avant de son cacher-endroit de l'autre côté d'un couloir...