Résumé
LE MARIAGE DES PRÊTRES
La Providence de Dieu veille, avec un soin jaloux, sur la robe immaculée de son Église, car, s'il n'est rien au monde que Dieu aime plus que la liberté de cette Église, il est quelque chose qu'il aime au moins autant, c'est sa pureté.
Dès les commencements, la loi fut portée et, à travers les tolérances forcées du début, il était facile de prévoir qu'elle serait appliquée avec une sévère rigueur à bref délai. Les faibles et les lâches, n'osant pas résister en face, essayèrent d'échapper, sinon à la loi, du moins à ses sanctions pénales en couvrant leurs prévarications de prétextes qui ne trompèrent pas longtemps la vigilance des conciles.