La nuit qu'il nous reste

Entre les vers, libres et fiers, se jouent les extraits d'opéras, comme un canevas inspirant pour les poètes amoureux de musique. Au fil des pages on croise Violetta, Anna Bolena ou encore la petite Rusalka et son lien à la lune. Mais ces héroïnes ne se laissent pas enfermer dans des lettres privées de mélodies ; un soin tout particulier est dédié à la sonorité des mots, à leurs couleurs, à leur vivante passion. Goûtez à cette musicalité personnelle, connivence du verbe et de son parfum indicible, et embarquez pour un voyage aux pays des Muses, plurielles, généreuses.