Résumé
La mort du bâtiment, c’est supposer que les objets architecturaux ont une vie, suivent des cycles, et que certaines de leurs formes ne trouvant plus de fonction sont dévitalisés. C’est identifier ce qui peut être mortifère dans certaines formes architecturales. C’est envisager une conception autre du bâtiment, comme un élément organique, qui s’inscrit dans des cycles en lien étroit avec le temps.
La recherche se construit sur des lectures et réflexions philosophiques, dont on retrouve des traces écrites dans les articles en annexe, les récits de fiction s’appuyant eux sur des articles de presse, des travaux d’historiens, mais aussi des souvenirs de l’auteure et sa connaissance vécue de la culture guadeloupéenne.