Résumé
"Nicolas a le diable chevillé au corps. Il passe petit à petit d'un mode d'écoute à celui de la leçon de morale fleuve. Il se ferme complètement, en déblatérant, avec volubilité, des âneries qui témoignent d'un état de délire. Sa loquacité dépasse le meilleur des pamphlets sur le mariage. La satire est sanglante. Pourtant, Nicolas est loin d'être érudit au sujet de l'amour.
Sylvie ne se fait aucune illusion. Elle sait qu'elle ne trouvera aucune miséricorde en Nicolas. Au lieu d'aller aux armes, Sylvie finit par se fermer. Elle lui donne raison pour toucher la paix. Elle acquiesce et endosse la responsabilité des actes manqués."