Résumé
Un recueil de textes courts, coulés concrets dans l'intime.
L’intime éclipsé, sans mesure aucune avec ce que le lendemain déferlerait d'horreur (c'était le 12 novembre 2015),
des passages où se joue la mort, nullement sublime, à l'écart et en silence,
en prise directe (il vient l'image du ciment qui prend) avec elle,
des poèmes si l'on veut, de la prose aussi, ces morceaux je les appelle des "stases", et leur expérience
serait celle d'une sorte de macération (alchimique). Cela s'appelle L'Errant de phène.