Résumé
Te voilà enfin.
Ne fait guère attention aux marques sur mes joues, celles qui sont toutes rouges. Sur, mes yeux, ce ne sont que des stigmates du mal interne qui n’a cessé de grandir à chaque pas. Que faire ? Rien, ne fait rien, ne rigole pas, ne pleure pas, ne regarde pas, ne regarde pas ; tu es trop innocent pour ça, derrière ton plafond de beauté et d’innocence. La vraie vie, elle, est ici, vécue par des millions de gens, d’ici et là, sans le sous ou sans le rire ; l’Homme est faible. Par ce texte ne t’imagine pas insulté ou biaisé, car tu ne mérites point de me voir m’arracher le cœur. Rien n’est pire que ce que tu fais. Vie, tel est ton nom, laisse-moi te décrire dans ces quelques vers venant de mon âme.