Résumé
Les créateurs africains peinent à se connecter au marché mondial des arts et de l'artisanat pour que leur oeuvres puissent bénéficier de prix rémunérateurs leur permettant d'en vivre. Au Sénégal, malgré un intense foisonnement et de nouvelles dynamiques louables, l'intégration au numérique leur fait encore défaut. Diagnostic d'un secteur en effervescence, pour des industries culturelles et créatives mieux soutenues par une promotion et un meilleur accès au marché global. Des perspectives se dessinent, mais les écueils sont tenaces. Le succès du Plan Sénégal émergent (PSE) en dépend largement pourtant.