Des tableaux un peu partout contre les murs. Une bibliothèque pleine de livres. Des romans, des plaquettes de poésie et des traités de psychanalyse. Une lampe à abat-jour et un bon canapé pour y passer des soirées entières à lire et à rêver, loin de la cohue et de l’hypocrisie des hommes.Tel est le salon d’Indiana Black. (extrait)