Résumé
Il faudrait bien pourtant, inspirant le titre de ce roman, cet aveu de faiblesse lancé par la mère à ses enfants comme une condition, un appel à la raison, mais aussi une certaine forme de permissivité anonyme, la liberté qu’elle leur laisse de décider ou non de l’honorabilité, la condition morale chrétienne, de leur propre avenir.
Une histoire familiale, sous la forme épistolaire. Une fresque sociale des années 1980-90 avec comme gardes intemporels : la pluie, le beau temps, la mort et la résurrection. La mère prend la parole, conjuguant le parcours de ses aïeux avec celui de sa famille et de ses enfants. Elle souffre mais elle fini toujours par l’accepter pour l’amour de la chair de sa chair, sa propre liberté !