Résumé
Le temps de la cravate est révolu. Ceux qui la portent encore sont des traine-savates qui pensent que l’élégance dépend d’un simple noeud.
Bien ou mal fringué, un sagouin reste un sagouin et un cowboy un cowboy.
Les femmes qui adorent les hommes habillés à quatre épingles me font penser à ces poules de luxe qui ne soulagent leurs patients qu’entre deux cabinets.
Difficile de comprendre cette stratégie quand on a passé toute son adolescence à soutenir le moral du curé, bien entendu. (extrait)