Résumé
"Et je dis qu’il est fini le temps où l’homme sortait de l’antre de la douleur à grands cris sauvages, dans le sang du premier souffle, fini le temps du lien qui nous unissait en créatures, cette méthodique souffrance commune à tous les vertébrés ou invertébrés, et qu’un règne nouveau est né, sorti de nulle part, plus totalitaire que les autres, dans lequel définitivement l’humanité s’est divisée dans une lutte dont la paix, sa simulation, est le carburant indispensable.
Que tôt ou tard il nous faudra reconnaître ce qui est vivant de ce qui l’est pas et se battre en conséquence."