Si publier un livre sur TBE est facile, le vendre à la face de l'univers est d'autre difficulté... Parmi les trucs et astuces j'en ai relevé trois. - Les Forums : C'est grandiose ! Si t'est pas connu t'es pas vu et t'est pas lu, tu reste comme un c.. a regarder ton message pendant 3 semaines avec un nombre de visiteurs frisant le comique... - Les foires aux livres : Si tu veux te faire x centaines de bornes pour rester des heures derrière un stand, encore comme un c.. , et te retrouver avec ton stock sur les bras. - Les librairies : amateurs de coup de pied au Q et autres envoyages promener, c'est pour vous !
Je pense qu'il faudrait, qu'il devrait, exister une nomenclature de librairies, comités de lecture, de sites promotionnels .. Et pourquoi pas un chat sur TBE ?....
Je suis à 100% engagée dans ton combat! (lol). Deux parutions à mon actif grâce à TBE, et malheureusement peu de résultats...Ce n'est pas tant l'appât du gain (heureusement), mais le besoin de faire vivre ses écrits et de les partager... Bonne idée pour le Chat sur TBE! Armelle Carbonel
Merci à Cevory pour son intervention quelque peu iconoclaste. Je suis plutôt d'accord avec lui pour considérer qu'une certaine puérilité règne dans l'autoédition. Conséquence bien compréhensible de son ouverture à tout un chacun, tout simplement. Sans vouloir porter atteinte à l'enthousiame des autoédités
Bonjour, le problème que vous soulevez n'est pas propre à l'auto édition. Mon oncle qui avait publié plusieurs livres chez Robert Laffont et un roman chez Seghers, était confronté au même problème. Si vous n'êtes pas un auteur connu, votre livre sera noyé dans le flot des parutions et passera inaperçu. Assurant une chronique littéraire hebdomadaire dans un journal local, je reçois un nombre infini d'ouvrage tous les mois et je me rends compte que la durée de vie d'un livre est d'un mois. Si votre livre n'a pas été remarqué, s'il n'a pas fait l'objet d'articles dans la presse, au bout d'un mois, il est enterré. Que dire de l'auto édition ? Les gens son méfiants : s'ils n'achètent pas un livre qui a franchi les fourches caudines d'un comité de lecture, croyez-vous qu'ils vont investir dans un livre auto édité ? Il ne faut pas se faire d'illusions : un auto édité est vendu à ses proches ou aux amis qui l'achètent parfois pour vous faire plaisir et ne le lisent pas. J'ai vendu 100 exemplaires de mon banquet des philosophes (en partie à des amis et des collègues) et - o surprise !! - plus de 200 exemplaires de ma comédie enseignante (aux proches, aux amis et une soixantaine via e-Bay (ventes qui m'ont procuré le plus de satisfaction, car elles n'étaient pas dictées par l'obligation de faire plaisir). Je suis peut-être un peu pessimiste, mais je ne pense pas qu'un livre auto édité puisse faire un tabac ! Cordialement à vous synovie.
Bonjour, le problème que vous soulevez n'est pas propre à l'auto édition. Mon oncle qui avait publié plusieurs livres chez Robert Laffont et un roman chez Seghers, était confronté au même problème. Si vous n'êtes pas un auteur connu, votre livre sera noyé dans le flot des parutions et passera inaperçu. Assurant une chronique littéraire hebdomadaire dans un journal local, je reçois un nombre infini d'ouvrage tous les mois des services de presse, et je me rends compte que la durée de vie d'un livre est d'un mois. Si votre livre n'a pas été remarqué, s'il n'a pas fait l'objet d'articles dans la presse, au bout d'un mois, il est enterré. Que dire de l'auto édition ? Les gens son méfiants : s'ils n'achètent pas un livre qui a franchi les fourches caudines d'un comité de lecture, ils n'achèteront pas un roman auto édité, ou par complaisance et obligation pour faire plaisir à l'auteur, parfois sans le lire ! Les seules ventes qui me font réellement plaisir sont celles qui émanent d'inconnus, car il ne s'agit pas d'achats de complaisance. Ainsi les 60 exemplaires de ma comédie enseignante, vendus via e-Bay. Je suis peut-être un peu pessimiste, mais je ne pense pas qu'un roman auto édité puisse faire un tabac !! Cordialement Synovie
Bonjour, le problème que vous soulevez n'est pas propre à l'auto édition. Mon oncle qui avait publié plusieurs livres chez Robert Laffont et un roman chez Seghers, était confronté au même problème. Si vous n'êtes pas un auteur connu, votre livre sera noyé dans le flot des parutions et passera inaperçu. Assurant une chronique littéraire hebdomadaire dans un journal local, je reçois un nombre infini d'ouvrage tous les mois des services de presse, et je me rends compte que la durée de vie d'un livre est d'un mois. Si votre livre n'a pas été remarqué, s'il n'a pas fait l'objet d'articles dans la presse, au bout d'un mois, il est enterré. Que dire de l'auto édition ? Les gens son méfiants : s'ils n'achètent pas un livre qui a franchi les fourches caudines d'un comité de lecture, ils n'achèteront pas un roman auto édité, ou par complaisance et obligation pour faire plaisir à l'auteur, parfois sans le lire ! Les seules ventes qui me font réellement plaisir sont celles qui émanent d'inconnus, car il ne s'agit pas d'achats de complaisance. Ainsi les 60 exemplaires de ma comédie enseignante, vendus via e-Bay. Je suis peut-être un peu pessimiste, mais je ne pense pas qu'un roman auto édité puisse faire un tabac !! Cordialement Synovie
Bonjour, le problème que vous soulevez n'est pas propre à l'auto édition. Mon oncle qui avait publié plusieurs livres chez Robert Laffont et un roman chez Seghers, était confronté au même problème. Si vous n'êtes pas un auteur connu, votre livre sera noyé dans le flot des parutions et passera inaperçu. Assurant une chronique littéraire hebdomadaire dans un journal local, je reçois un nombre infini d'ouvrage tous les mois des services de presse, et je me rends compte que la durée de vie d'un livre est d'un mois. Si votre livre n'a pas été remarqué, s'il n'a pas fait l'objet d'articles dans la presse, au bout d'un mois, il est enterré. Que dire de l'auto édition ? Les gens son méfiants : s'ils n'achètent pas un livre qui a franchi les fourches caudines d'un comité de lecture, ils n'achèteront pas un roman auto édité, ou par complaisance et obligation pour faire plaisir à l'auteur, parfois sans le lire ! Les seules ventes qui me font réellement plaisir sont celles qui émanent d'inconnus, car il ne s'agit pas d'achats de complaisance. Ainsi les 60 exemplaires de ma comédie enseignante, vendus via e-Bay. Je suis peut-être un peu pessimiste, mais je ne pense pas qu'un roman auto édité puisse faire un tabac !! Cordialement Synovie
Je vous prie d'excuser les 4 exemplaires de ma réponse, mais chaque fois un message m'indiquait que l'accès au forum était 'forbidden' et j'ai recliqué - ce qui explique ces 4 messages intempestifs !!
Beaucoup de livres édités chez des éditeurs 'classiques' ne se vendent absolument pas non plus. Par aileurs, ayant présenté des livres chez des éditeurs, grands et petits, ayant étéaccpetée en édition... j'ai choisi de garder pour moi mes écrits jusqu'à ce que je fasse connaissance avec l'auto-edition. Un éditeur n'est pas un marchand d'art mais un marchand tout court, qui nous demande, de : changer le tite parce qu'il n'est pas assez 'accorcheur' (sous entendu vendeur), faire des coupes dans nos textes, réé crire tel ou tel passage pour qu'il soit moins abscons (sic) ou lus émouvant (re sic) et j'en passe et des pires. Par ailleurs, un livre édité chez un éditeur classique, n'es pas promotionné. C'est à l'auteurde faire sa promo... Ca vous rapelle quelque chose ??? Il git à la Fnac (en général c'est la fnac) où, au bout d'un mois ou deux, i est relégué derrière les nouveaux... Donc, il ne se vend pas. Mais pire, vous ne le savez pas. Vous ne pouvez que le supposer parce que les droits d'auteurs ne vous sont reversés que... 18 mois après la sortie de votre livre. Soit : Environ trois mois pour obtenir un réponse de l'éditeur, 6 à 8 mois pour qu'il soit mis en vente (dans le mailleur des cas), 18 mois pout toucher 'éventuels droits d'auteur... Et un grand silence entre chaque étape. Alors oui, l'auto édition est a porte ouverte à tout et à n'importe quoi, oui c'est dur ... Mais pas plus qu'en édition classique.
Je suis 100% de votre avis. Lorsque l'on est un auteur inconnu, il est très difficile de se faire connaître du grand public. J'ai créé un blog, un site pour présenter mes ouvrages, ils m'ont permis de vendre des exemplaires de mes romans et d'avoir le bonheur, surtout, d'être lu, mais ça s'arrête là. Chez TBE l'avantage, pour la question rendement, c'est vous qui choisissez la marge que vous souhaitez avoir. J'ai écrit 3 romans qui ont été acccepté par le comité de lecture d'un éditeur sur le net; Je n'ai rien eu à débourser, contrairement à d'autres éditeurs qui demandent des participations exhorbitantes, mais je regrette maintenant ce choix, car je me rends compte que je me fais 'rouler' sur la vente de mes ouvrages. Dans mon compte n'apparaît pas toutes les ventes que j'ai faites et j'ai beau signaler que je sais que tant de livres ont été acheté à telle période, rien y fait, et entreprendre una action vis à vis de l'éditeur, je sais que j'ai perdu d'avance. Mais le plus grave c'est que je ne peux même pas 'récupérer' mes romans, j'ai signé un contrat. L'éditeur a tous les droits sur mon oeuvre et moi je touche un pourcentage dérisoire (sur le peu qui sont déclarés), je suis dégoutée.
Je débute chez TBE, j'ai mis mes 'nouvelles' sur mon site, je 'vois' que pas mal de monde clic sur la première de couverture, quant à en vendre c'est une autre histoire.
Mais j'ai le plaisir d'avoir mes écrits à la maison et j'en retire une certaine satisfaction, car écrire m'apporte beaucoup. Je commence l'écriture de mon sixième roman.
Bonsoir Loula, je pense que si votre éditeur ne vend rien pendant un an, vous avez le droit de récupérer le droit sur vos écrits. C'est ce que je viens de faire avec 'mes philosophes' dont j'avais cédé les droits à une éditrice, le contrat stipulant « Cession : dans le cas d
Je rebondis sur ce sujet, qui est des plus importants. Je ne pense pas qu'actuellement, TBE fasse de promotions, 1, de son activité, 2, de l'activité de ses inscrits. Je suis surpris de cette position, mais il semble que ce soit dû à l'auto-édition.
De mon coté, j'ai un site Web qui fait 150 visites/jour, j'ai une nouvelle 'gratuite' qui a été lu 5000 fois (qui pour l'instant ne se sont pas transformés en vente), je distribue un flyer sur la presqu'ile guérandaise avec cette nouvelle imprimée, je participe à des salons jusqu'à la fin de l'année... j'espère que ça va débloquer la situation. - Je pensais commencer envoyer le livre à des 'personnalités' qui m'ont inspiré, comme Vincent Cassel, Pascal Laugier, Mathieu Kassowitz... mais ce n'est pas plus facile ;-) - je cherche des dessinateurs pour illustrer certaines scènes de mes nouvelles.
Pour le flyer, souvent on me répond : ' _ Désolé, je ne lis pas ...' Ca fait mal au coeur ^^
Je pense vraiment avoir tout essayé sauf... les magasines spécialisés, mais en connaissez-vous ?