Comment ? Missette n'a pas encore lu Moneuvre 'Pas possible, dites-vous ?' ??? ......... Chère Missette, je plaisante, bien sûr !
Armelle est une Fidèle Qui écrit avec son coeur Avec ses cris.
Je viens de lire 'Fille de l'absinthe' : magnifiques poèmes dont se dégage une force, un lyrisme incroyable. C'est parfois tellement beau que j'ai envie de connaitre par coeur quelques unes de tes rimes ! Quant au conte je l'avais lu sur le forum me semble-t-il : chapeau !!!! Armelle est une conteuse à la plume sûre et évocatrice. Il faut la lire.
Merci 'lézamis' Armelle et Stéphane (remarquez bien que dans les 'lézamis' il y a lézard- normal, c'est l'été et les vacances pour beaucoup !) pour votre critique délicate de 'Pas possible, dites-vous ?' Stephane n'a pas tort. Derrière tout cela ce sont bien les sentiments qui dominent, et particulièrement la perception d'une solitude difficile à conjurer.
Il y a quelqu'une qui a peut-être lu, à ce jour,- mais je sais qu'elle aime les 'vrais livres' un peu plus conséquents que le mien- PAS POSSIBLE, DITES-VOUS ? et dont j'attends la critique, c'est ... Synovie ! Brr ! brr ! .....
Une histoire flirtant entre réel et rationnel. J'aurais aimé peut-être plus de développement au début pour découvrir la personnalité, les goûts et les rêves de cette pauvre femme avant que tout ça lui arrive. Beaucoup d'imagination. Bon moment de lecture. Bisous. Chris.
Merci pour ta critique sincère. C'est toujours très utile. Peut-être as-tu raison, je ne sais pas. Il est vrai que l'on 'rentre' assez vite dans le développement du conte. Pourtant il y a, par touches successives, les 'signes' avant coureur de ce qui s'installe et amène au dénouement final. Il faut savoir que je ne voulais pas- délibérement- appuyer ces propos, pensant qu'ils laissaient déjà à eux seuls entendre beaucoup d'autres choses tournant autour de la solitude...
C'est intéressant d'avoir des retours de la sorte puisqu'on ne peut être oblectif avec son 'oeuvre'. Merci encore.
Bonne journée et bonne imagination à toi aussi- qui n'en manque pas !!! Bises, Mycha
Si je peux me permettre, Mycha a parlé de grande solitude, mère d'enfants devenus adultes et trop préoccupés au point de la délaisser. Cette affection démeusurée pour les chats, qui présume d'une grande détresse. Puis de la position d'une divorcée ; au point tel que la volonté des autres , consiste au moindre événement de famille, à tenter de caser cette femme seule auprès du premier excité qui se présente...
Il me semble que tout est dit par un auteur discret qui sait manier la discrétion au point de croire que cette femme (l'héroïne) n'a aucune autre vie que la passion pour ses chats et un boulot prennant dans lequel elle met toute son ardeur.
Dis moi, chère Mycha si je me trompe. Si oui, je l'ai mal lu... Amitié.
Heu, ce n'était pas une critique, c'était juste à chaud, après avoir posé ce livre, ce que j'aurais aimé y voir en plus. Désolée d'avoir dérangée. Je me retire sur la pointe des pieds. Chris.
Non, Christine, tu n'as pas du tout dérangé ! Tu sais les mots sans le ton ont plus de force quand on les lit et parfois vont un peu plus loin que ce que l'on désirait vraiment exprimer- je pense en disant cela à la remarque de Stéphane- non ? Donc, pas de problème ! Il faut continuer à dire, à exprimer son vrai ressenti, comme tu l'as fait, sinon à quoi sert le forum ? A chacun sa perception d'un livre. C'est normal.
Cher Stéphane, J'ai besoin de revenir un peu sur ton analyse. Premièrement, mettons les choses au point : il s'agit d'une fiction, même si, bien sûr, elle se nourrit, en partie seulement- Dieu merci !- de la réalité. Dans ce conte les rapports humains sont juste suggérés comme tu le soulignes fort à propos , donc on peut extrapoler en exagérant dans un sens comme dans un autre. Ce qui est sûr c'est que Marie ressent une forte solitude exacerbée par l'incompréhension qu'elle rencontre- comportement assez ordinaire, finalement !- sur sa situation de femme esseulée. Mais son entourage, s'il souhaiterait, pour plusieurs raisons, la voir 'casée' ne lui conseillera jamais, pour autant, de s'attacher au 'premier venu'. En revanche, elle, Marie, sent combien elle 'dérange' parce qu'elle n'incarne pas la solidité comme le ferait la vue d'un couple uni et heureux d'être ensemble ! Elle traîne, sans le vouloir, une certaine grisaille qui s'accroche à elle, qui ternit son image. Elle est 'une femme SEULE' et toute la société le dit haut et fort, ce n'est pas bien, ce n'est pas la norme, regardez les images de pub comme ils sont beaux tous ces couples qui arborent un large sourire et croquent la vie à pleines dents !
Ainsi tout est question d'interprétation, de subjectivité, et après tout, Stéphane, cela eût pu être comme tu le dis, poussé au paroxysme, mais sur ce point précis, là, non ! Sur d'autres aspects- par exemple ses rencontres amicales, en point d'interrogation, oui ! Donc tout cumulé c'est beaucoup pour la petite Marie. Là on ne peut pas se tromper.
Marie souffre d'un profond manque d'affection qui l'amène inexorablement vers une grande solitude, qu'elle essaie malgré tout de compenser près de ses chats, (ses seuls vrais amis) qui eux, ne lui demandent pas de rendre des comptes ! Mais petit à petit, cette solitude, sournoisement s'empare de cette femme pour un jour la faire basculer... Est-elle entrée dans une autre dimension, ou a-t-elle pris ses rêves pour la réalité ?? Ce petit livre reste 'troublant'...
Une bonne petite nouvelle que tu as écris là, Mycha !! ...
Oups, j'étais un peu à l'ouest... Troublé par ces écrit, j'étais transporté par le personnage !
C'est une fiction, je l'ai bien compris, mais écrite avec tellement de tendresse qu'elle transpire la vérité. Une vérité comme il en existe autour de soi, des gens seuls qui vivent au travers de leurs compagnons à 4 pattes... C'est ce que je voulais dire, tout simplement.
Je ne voulais contredire personne et ne faisais aucun transfert. Quand je l'ai lu, ce livre, j'étais plongé dans ce personnage son regard était devenu le mien, tant j'étais troublé par cette histoire, tout simplement.
C'est tout.
J'espère n'avoir blessé personne, car c'était loin d'être le but de mon intervention. Je donnais mon imression d'un conte qui frôlait la réalité. Amicalement.