Sans le vouloir je n'ai pas répondu aussitôt à ton petit message de soutien. Excuse-moi. J'espère que tes bouquins prennent leur envol dans le public. Tu le mérites tant !...
Chère Mycha, je n'ai lu qu'un livre de toi, mais entre chaque ligne, on peut y lire une grande tendresse. Tu es un personnage passionnant. Bien amicalement.
'L'absence' est finalement peut-être le meilleur de mes poèmes par justement sa sobriété extrême, possible. IL est certain que plus on peut faire sobre, mieux c'est ! Mais parfois ça déborde tellement que le texte se met à l'unisson du cataclysme !
Maintenant que voulez-vous dire par votre dernière interrogation ? Ne vouliez-vous pas plutôt dire '... sanctifier l'amour sur l'autel de la dignité' ? Pas bien compris.
Tes mots me touchent vraiment, tu sais et je t'en remercie de tout coeur. Tu es surement de ceux qui savent voir chez les autres le meilleur, sachant mettre de côté le moins bon ? C'est une qualité précieuse que tu as là. Elle doit te permettre de tisser des liens forts. Je suis bien heureuse d'avoir une vraie amie en toi, chère Missette. NOus nous réjouïsserons tous ensemble, bientôt, tra la la !
Cher Stéphane, tu me fais rougir ! De qui parles-tu là ? de môa ? ......... y'a pas erreur sur la personne ? (surtout ne répond pas- si jamais tu changeais d'avis !!!! ;-)
Ce midi n'ai pou regarder ta galerie. Mais j'ai vu l'autre jour 'Zita' : elle est bien belle; Quelle prestance cette archiduchesse de Bourbon-Parme !
A propos de livre, je ne l'ai pas encore commandé - je peux toujours l'attendre comme Godot !! Cela va être fait sous peu, j'attends ma retraite en fin de mois !!! Bises Edmonde
Tu as bien lu ; j'ai bien dit 'sacrifier l'amour sur l'autel de la dignité', bien que la perverse Synovie cherche à m'entrainer à l'hôtel. Chiche, Synovie, mêm' pas cap' !!
Je m'explique : La femme qui parle dans ce poème (toi ou une autre) aime encore l'absent puisque elle dit : 'Le souvenir/de ton sourire/me tord/régulièrement/le coeur'. Cependant, par dignité, elle refuse de lui faire un signe. Elle sacrifie donc bien son amour pour rester digne. Je crois qu'un grand amour, un amour véritable, ne s'embarrasse pas de dignité. Il est toujours le plus fort et, crois-moi, c'est bien ainsi, je suis digne de foi
Tu as mille fois raison (comme d'hab! ;-) Synovie ! Et même pour l'hôtel, certains traînent un peu des pieds. Regarde, par exemple, sans aller plus loin, Albert-Robert !!!! ................
Cher Albert-Robert (hum ! ça devient 'sérieux, ma parole ! ;-),
Si tu avais lu le recueil en entier, tu aurais vu, tu aurais compris que mon orgueil j'avais vite fini par mettre mon mouchoir dessus !!!!!!!.................... Maintenant peut-on considérer que l'orgueil et la dignité sont exactement la même chose ? Je ne suis pas sûre, mais c'est sans doute assez proche. Alors j'avais effectivement perdu ma dignité ! ok ! J'assume. Tu as donc raison, quand on aime passionnément (mais je le déconseille !) on laisse tomber sa prétendue 'dignité' : on n'a même pas le choix de faire autrement !!!!
Oui, chère Missette, c'est tout le drame d'un amour-passion ! On va loin dans le supportable, on accepte ce qui, hier, nous paraissait invraisemblable, de peur de perdre l'aimé. Ainsi tout ce qui relève de l'orgueil va tomber petit à petit. Est-ce la même chose que la dignité ? Je ne le crois pas. Je te redirai, comme je l'ai affirmé à Albert-Robert : la dignité, la seule dignité, c'est être vrai (e) !
Ce qui te fait perdre ta dignité, qui n'est pas forcément perdu, c'est ce que l'être aimé exige de toi... Mais un être digne te dois le respect autaunt qu'à lui-même...
Stéphane, je ne souhaite pas 'm'étendre' davantage à ce sujet sur le forum.... L'histoire se trouve complètement dans les poèmes d' 'Un amour de Spam' car ceux-ci ont jailli tout seuls dans les moments les plus intenses. Ce que je vivais n'était jamais équilibré ou doux : c'était soit l'enchantement- car il m'appelait, tout simplement ou m'invitait à dîner et plus, ou l'enfer parce qu'il partait, parce qu'il ne répondait pas, parce que je ne le voyais plus ! C'était moi qui était 'accroc'....