Deux grandes lignes se dégagent de « Et s'ils avaient gagné ? ». La première, en suivant le procès de Nuremberg « à l'envers », montre que la justice est différente suivant le vainqueur qui l'applique. La deuxième montre que les intérêts économiques, religieux, politiques, peuvent primer sur la révélation de faits, même si ceux-ci sont de la pire atrocité. L'ensemble trouve un agrément de lecture au travers des aventures palpitantes d'un journaliste argentin. Un livre qui suscite le débat aussi bien auprès des jeunes que de leurs aînés. Le résumé :