Bonjour Solojak, votre joie nous va droit au coeur... Permettez-vous que nous reprenions votre texte pour le poster sur notre page Facebook ? Et sur notre blog de ce site ? Tant de gens l'ont éprouvée, cette joie immense de recevoir 'LE' livre, mais vous la décrivez avec ferveur, il faut le dire :) Au nom de l'équipe, merci à vous et à tous ceux qui par leurs sourires font de TheBookEdition.com un instrument du bonheur... Votre talent plus notre expérience, joli tandem.
Pas de problème, madame Annie ! Je vous remercie pour votre bel encouragement dominical. Entre nous, c'est pas facile, la promo d'un inconnu par lui-même... Mais même si je ne suis pas spécialement révolutionnaire, je me dis :'ça ira!'
Quelle emphase ! On tirait Thierry Jeanpierre commentant un but de l'EdF. Que n'ai-je connu un tel orgasme lorsque j'ai reçu mon propre roman ! Il est allé rejoindre rapidement le panthéon de mes oeuvres imparfaites et oubliées...
Bonjour Cripure, si je n'avais vu les effets de l'arrivée d'un premier livre sur l'auteur, si je n'appréciais le style de Solojak dans ce post fait de pas mal de comique d'autodérision, je n'aurais pas demandé l'autorisation de le reproduire. Ce n'est pas de l'emphase, celle-là je la connais, je la fréquente hélas au quotidien, mais le goût de la phrase et de l'écriture en général qui sous-tendent le cri du coeur de Solojak, que je ne connais pas. Que votre joie demeure, celle d'autrui ne devrait pas vous blesser autant.
: moi aimer beaucoup mot emphase signifie aussi ' énergie, force expressive', voir Robert (petit). Moi pas blessé en quoi que ce soit. Moi écrire simple maintenant et grand merci à Madame Annie, pour belle défense...
On peut comprendre la réaction de Cripure, Solojak semble être branché sur la haute tension, mais c'est moins de l'emphase que de l'accumulation, une figure de style consistant à empiler des mots ou des phrases de même nature pour donner une impression d'abondance, de foisonnement, de profusion, voire de variété ou de désordre (tiens, j'accumule !). On rencontre ce genre de style chez des auteurs truculents (Rabelais, Frédéric Dard), sans oublier la fameuse tirade de Cyranno. On peut aussi, quand on reçoit son livre, fermer les yeux et se dire 'je suis heureux'. C'est comme la beauté intérieure : c'est aussi beau, mais ça se voit moins.