Moi c'est Gilda Piersanti: Rouge Abattoir, c'est une italienne qui écrit une histoire qui se déroule en italie. Ca va, ça peut aller, ce n'est pas un chef d'oeuvre mais ça fait passer le temps.
Quand j'en aurais les moyens je prendrais, les deux de Novi, quelques uns de Jean claude Mornard, il écrit cool et bien. Puis un recueil de poésie mais je ne sais plus de qui
Je viens de terminer 'L'orpheline' de Alexandra Cueille. Au vu de son jeune âge ( 16 ans), je le trouve bien construit, avec quelques petites fautes et erreurs qui ont sans doute été corrigées dans sa nouvelle version. J'étais très curieuse de faire enfin la connaissance de celle qui avait adoptée la même phrase que moi, celle de Mark Twain. Je n'ai pas été déçue. Cette 'orpheline' a tout compris: vivre intensément, maintenant. Ne pas se créer de limite, croire que tout, ou presque, est possible. Je l'encourage à continuer à se faire plaisir en écrivant, d'autres se feront plaisir en la lisant. Je vais maintenant me plonger dans ' Entre la lampe et l'aube'
Novi je n'ai pas encore eu le plaisir de le lire à part dans ses commentaires mais .. je le ferai très bientôt pour le découvrir sous un autre angle !
Quand à MORNARD , c'est un délice : un remède contre l'anxiété et la déprime ! Bonne journée et tous mes voeux pour entre autres pour ton receuil BRUMES SENSUELLES que j'aime beaucoup mais très très beaucoup !sourire
Moi je viens de m'acheter 'Journal d'un vampire' de LJ Smith. J'ai vu les deux premiers épisodes de la série 'vampire diaries' et j'ai voulu lire les bouquins mais ça n'a rien à voir ! En tout cas j'adore le livre.
je ne connais pas true blood mais pour résumé c'est l'histoire d'une humaine prise entre deux frères vampires, cela dit, elle ne reste pas humaine longtemps... à ma grande déception. Mais c'est sympa à lire. J'ai commencé hier et j'ai entamé le tome 2 déjà...
à l'eau de rose non, façon twiligt non plus. Faut pas mettre toutes les histoires de vampire dans le même sac. Vampire diaries n'a rien à voir avec Twilight si ce n'est l'histoire d'amour entre le vampire et l'humaine mais ça se limite à ça.
Septembre 2009, la pauvreté galope, les entreprises ferment plus vite que leur ombre, les prisons explosent, la violence s'organise....ce n'est même plus de la SF, c'est du real polar.
Vous disiez quoi déjà...des vampires,ha oui ce doit étre trés passionnant ( smiley lunettes noires hhahaahahh ).
Novi vous qui êtes fan de polar, j'ai vu une interview et critique dans Impact, un film polar français qui vas bientôt sortir, Une Affaire d'état et pas avec les gueules qu'on voit tout le temps, ça a l'air sympa, fais avec les trippes comme Bad Lieutenant pour Ferrara.
Non, moi je vais bientôt ce que j'avais déjà cité. Aussi les deux derniers Edward Bunker.
Mouai ! Au cinoche, on se régale encore un peu de temps en temps : exemple avec Un Prophete....quasi chef d'oeuvre qui fait vraiment plaisir à voir.
Je l'ai visionné trois fois, c'est dire...
Il y a La Vida Loca qui sort prochainement, me suis procuré quelques bandes, ça raconte les gangs au Salvador, mais cela a l'air bien creusé, avec de la reflexion.
Bref, autant on s'emmerde dans le polar écrit, autant le ciné réserve d'excellentes surprises.
Celui qu'il l'a réalisé est mort a cause d'un flic qui a dit aux gangs que le journaliste réalisateur faisait un truc sur eux.
Au fait je voulais vous demandez, pour vos livres, on est obligé de commencer par L'épopée Nomade ou on peut prendre directement Les Frères De la Côtes?
On peut faire dans tous les sens, lire les fréres de la côte puis ensuite se procurer L'épopée nomade ou inversement, où même n'en lire qu'un !
L'épopée nomade, c'est le début de tout, avec plusieurs regards croisés, celui de la description d'une époque et d'un endroit : les bords de la Loire et la contrebande de la civelle ( l'or blanc ), mais aussi l'intronisation d'un jeune homme dans des clans nomades particuliers. C'est le récit de la rencontre de deux exclusions, l'une va se servir de ce tremplin pour reinvestir ( par une porte dérobée ) la societé, tandis que l'autre va retourner vers ses traditions.
Les frères de la côte relate l'intronisation de ces exclus, à travers une saison estivale, dans le monde de l'argent.
Le St Tropez de ces années là méritait d'étre raconté, un de ces minuscules endroits où sur deux mois et quelques kilométres carrés se faisaient et se défaisaient des fortunes, où une Ferrari pouvait éventuellement servir de carte de visite, où se testaient les premiers rip deal.
Pas trés, même très peu enthousiasmé par les nouveautés polardesque de la rentrée. Je fréquente plutôt les bouquinistes en recherche de perles devenues rares avec le temps qui passe.
Rencontre improblable sous un soleil radieux d'arriére saison comme on n'en fait plus, entre un bouquiniste plus vrai que l'affiche avec son look de hippie des années 70 et un Novi en costard qui brandit un Pierre Siniac ( malheureusement la re-édition Rivages) intitulé : Sous l'aile noire des rapaces.
L'original étant L'or des fous sorti chez Lattés en 75.
- Monsieur a bon goût.
- Monsieur est surtout collectionneur, on dira à défaut d'étre nostalgique.
Place du Commerce de Nantes, le 29 septembre 2009, vers les 16h 20 d'une journée magnifique.
J'ai vu au centre culturel d'un inter, un polar classé parmi tant de livres sans intérêt, j'ai donné un coup d'oeil et la bam, le thème done envie, des mafieux, des shérifs, un casse qui tourne mal, des morts, une vengeance, un système d'histoire que j'adore, j'ai lu le début, du polar a l'ancienne et c'est ça le meilleur.