De la dureté plein le regard, Pour éviter de pleurer le soir, Tous ces fantasmes tortueux, S'éveillent au delà de mes cieux. Les larmes ne couleront plus, Les mots se sont tus, Des sanglots pleins la voix, Le silence s'abat sur moi. La colère se déchaîne, Brûle dans mes veines, Et le sang sur mes mains, Eloigne l'espoir de mon chemin. Supplier dieu, n'importe qui, D'avoir une amnésie, Et La douleur coule sur mon âme, Torture mon jeune corps de femme.
Une douce lueur qui sourie en ton coeur Une douce douleur qui pleure à l'intérieur... C'est ce que j'en retiens en te lisant, du moins... joli texte, en tout cas. Bonne journée à toi.