Bonjour, Nom de l'auteur = nom de l'éditeur (synovie = Ed. Vergnes) La déclaration BNF va complètement dans ce sens. Il est demandé le nom de l'éditeur, qui est (par défaut) celui de l'auteur dans notre cas d'auto-édité. Bon vent à ton nouveau livre Synovie. La couverture est très sympa (t'as bien eu raison de la défendre...). J.C. Mornar a encore frappé !
Novi, Je suis bien d'accord avec vous. Mais je complète avec une projection : Quand les auto-édités se font éditer (petits éditeurs, cela va presque de soi), c'est très bien, c'est une chose. Mais, laissons venir... Au bout des deux ou trois années de contrat, combien seront-ils à avoir vendu 1000 exemplaires, voire ne serait-ce que 300 ou 400 exemplaires ? Certains édités ne tirent qu'à 200 exemplaires, ce qui fait grosso-modo 350 euros de droits. Combien seront-ils à se dire qu'ils auraient pu faire autant en étant resté auto-édité ? Avec, comme le souligne Plume, la liberté de faire ou de ne pas faire... Nous n'avons pas encore le recul suffisant. L'avenir nous le dira. Ou pas...
Nous ne pouvons pas donner les chiffres à la place des auto-éditeurs, mais sachez que des 500 en 15 jours, 1000 ou 2000 en un an ou deux ont été atteints sur ce site, dont l'un entièrement vendu via notre librairie. Le calcul est vite fait, leurs gains, qu'ils ont fixés eux-mêmes, sont largement supérieurs à ceux qu'ils auraient pu faire avec un éditeur.
Annie, il faut aussi citer le thriller d'Armelle Carbonel : 'La maison de l'ombre' qui a remporté un joli succès bien mérité ! nom du lien ici
En ce qui concerne la petite édition, je suis d'accord avec Chelt. On ne m'y reprendra plus ! J'ai refusé tantôt la proposition d'une petite maison qui m'a contactée via facebook pour éditer mon dernier livre 'L'Amante religieuse'dont j'avais publié quelques extraits ! C'est de l'arnaque pure et simple ! Qu'y aurais-je gagné ? Le livre est mis en forme par mes soins, il a une couverture que j'ai choisie (pomme de discorde avec mon ex-éditrice dont je m'étais séparée avant la fermeture de sa maison parce qu'elle voulait m'en imposer une autre qui ne convenait pas au style humoristique du livre). J'en fixe moi-même un prix (raisonnable 18
Bonjour Synovie, Bien d'accord avec toi. A propos, je ne suis pas sur facebook, pas encore. Je suis songeur. Tu dis que c'est positif, d'autres le disent aussi. Faudrait-il que je m'y mette ? Merci pour ta commande de 'jeu de jambes'. Cela me touche. Que la lecture te soit agréable...
J'ai été quelque temps sur 'face de bouc' car je 'les' avais écoutés, les gens ! 'Ils' disaient : 'si ! tu verras c'est le lieu idéal pour te faire connaître'! J'ai bien voulu 'les' croire, alors j'ai tenté l'expérience, aussi. Mais (bien sûr ça n'engage que moi) je n'ai pas 'tenu le coup' bien longtemps : trop de monde navigue sur ce fleuve... trop d'inscrétion aussi...
Ceci dit je comprends tout à fait ceux qui y croient et pour qui ça marche et leur souhaite de tout coeur bonne chance !!
Bonjour Missette, oui, je comprends ta réticence. Il y a le meilleur comme le pire sur facebook - comme partout d'ailleurs -, mais il suffit d'être vigilant, de bien savoir choisir ses ami(e)s, et aussi d'éviter d'y faire des confidences par trop personnelles. Il y a un bon système de 'message personnel' pour qui ne veut pas éventer sa vie privée. Bon, à chacun son expérience. En ce qui me concerne, facebook m'a permis de nouer des amitiés avec des gens formidables que je n'aurais jamais eu l'occasion de rencontrer dans mon village isolé. Bises à toi, Missette et bon succès pour tes oeuvres. Edmonde
Coucou Missette, Moi, j'essaie FB depuis une petite quinzaine, je verrais si cela me convient ou pas . Comme le dit Synovie, il faut rester vigilent mais cela ne suffit peut être pas ... Sans voir ton message ici, ce matin, j'ai eu envie de parler d'un de tes livres, ça ne peut pas faire de mal ... Petit à petit, je vais y parler de tous les livres TBE que j'ai aimés, laissant sous silence les autres!!!!! Bisous et bonne journée Mony
Toujours contente de te 'voir' ! Tu sais pour en revenir à 'face de bouc' chacun voit midi à sa porte comme on dit ! J'espère pour toi que tu y trouveras ce que tu cherches! Je pense ne pas être un exemple à suivre, car se faire connaître d'accord mais pas à n'importe quel prix ! Partout où trop de monde navigue, ne me convient pas trop, c'est tout ! Tout çela est très personnel...
Je t'embrasse Mony. Continue à nous concocter de petites histoires bien fraîches, je suis adepte !!
FB est surtout une tribune offerte à ceux qui ont quelque chose d'autre à dire que :oh que mon livre est beau, ou encore des calembours à deux balles et autres beaufreries...
C'est un univers offert aux poètes, aux penseurs, où le lecteur se promène comme faisant son marché, sa brocante, s'arrêtant là où un propos lui parait significatif, où il peut juger sur pièce du niveau d'un auteur, converser si le coeur lui en dit, autrement que dans l'attente d'une dédicace.
On s'y tient au courant des nouvelles du monde, des univers proches ou lointains, on y aperçoit de gens inapprochables ou infréquentables...
Face Book, c'est la table de bistrot enfumée des surréalistes complotant une ère littéraire nouvelle.
A mon sens, Facebook est le lieu où l'on s'expose : On aime, tant mieux, mais il ne faut pas trop s'y mettre à nu, parler de choses trop personnelles... On y retrouve parfois des vieilles connaissances.
Ce lieu n'est pas réservé aux timides, aux gens réservés, sans pour cela prendre certains risques : celui d'être mis en avant.
Et puis tout dépend de ce qu'on cherche... Et puis on ne eut pas tous être copains.
Pour ma part je ne déteste pas les bistrots où il y a des échanges et où règne la convivialité, même si on ne connaît personne.
Certains considèrent Face Book comme un vecteur de NO-life. Ces esprits chagrins nous évoquant la vraie vie selon eux, la convivialité de la vie publique,etc..., omettant de nous dire que cette proximité passe avant tout par des cercles d'amis basés sur l'affinité d'idée et de genres.
Je pense le contraire.
Des tas de gens vivent dans des milieux marginaux, ou au contraire dans les sphères de l'entre-soi des petits restos entre amis,etc. On ne s'est jamais autant refermé sur ses propres communautés, qu'elles soient ethniques, politiques,culturelles,etc...qu'aujourd'hui. On ne s'aiment plus comme dirait Souchon. C'est évident.Palpable et violent.
Vous me direz qu'un auteur par exemple, peut très bien vivre dans le retrait ou la détestation du genre humain ( Céline et tant d'autres). Moi-même,je considère le ouébe comme un moyen de fréquenter des gens que je ne rencontrerai jamais dans ma vie : c'est une ouverture ''diplomatique'' sur les autres, si je puis dire. Des passerelles qui nous séparent d'une guerre dans laquelle j'ai vécu longtemps personnellement. C'est confus parce que l'on n'en maitrise pas assez les tenants et les aboutissants à cause de la récenteté du net de communication. Les blogs et les forums ont échoués à permettre ces passerelles quant les réseaux sociaux limitant plus la censure, ouvrent des voies à ce niveau.
On s'en va vers un néo-féodalisme sociétal où la communication entre groupes d'individus passera par des rapports de force, et internet est le dernier rempart, le dernier espoir, de permettre à des clans antagonistes de communiquer.
'internet est le dernier rempart, le dernier espoir, de permettre à des clans antagonistes de communiquer.'
Qu'appelez-vous 'communiquer'? Toute communication par machine interposée me laisse quelque peu mal à l'aise ! Pour ma part j'aime les 'relations' de 'visu' (c'est à dire franche. c'est peut être démodé, je sais, pardonnez-moi je ne suis guère dans 'le bon sens', mais au moins ça a le mérite de voir 'à qui on a à faire'. Dans le virtuel on 'communique' certes avec tout un tas de gens, de divers milieux, mais au bout du compte à quoi ça sert ? à être juste tranquille car on sait que pour la plupart on ne les verra jamais ! Puis après on se retrouve seul, toujours seul devant sa machine ! Tout ça est bien triste... On ne peut plus rire aux éclats avec quelqu'un en face de soi, seulement avec son écran. BRRRRRR !!!!
Personnellement internet me sert en tant qu'outil, rien de plus.
Je me suis rendu un jour sur un salon du livre ( j'avais rendez vous avec une journaliste pour tout autre chose). C'était ce que l'on pourrait appeler un salon avec des pointures,sic..., le Lieu Unique de Nantes ( ex usine LU aujourd'hui grand temple de la culture) dédié trois jours au polar nordique.
Arrivé très en avance d'autant que mon interlocutrice se retrouva retardataire suite à un incident, j'ai assisté à une conférence dont la boursouflure faussement humble de ces auteurs parvenus par la grâce de quelques romans à intrigue, me souffla littéralement. Aucune discussion de fond, justes quelques calembours faussement décontractés sur la condition d'auteur, bref on a tout su de leurs soirées à rédiger, s'ils avaient un chat ou un chien dans la pièce, - passionnant !
Plus tard, au bar, j'écoutais d'une oreille distraite les conversations entre ces dits auteurs et des gens, affligeant d'outrecuidance bassement commerciale, des épiciers et encore, je suis injuste avec cette profession capable justement de vendre autre chose que de la farine et du lait.
Alors certes, beaucoup de murs d'auteurs FB sont affligeants aussi et il faut savoir trier, mais n'en demeure pas moins ci et là, des choses novatrices, intelligentes,etc...
A titre d'exemple amusant, j'ai provoqué la rencontre de deux femmes aux profils qu'on auraient pu croire si éloignés à priori : Clara Basteh, la grande prêtresse du roman libertin et érotique, mannequin de son état..., et Camille de Vitry, auteure passionnaria, journaliste engagée et féministe. Deux talents antagonistes qui ne se seraient probablement jamais adressé la parole sur un salon pour cause de codes vestimentaires, sociaux, d'à priori de l'apparence. Et pourtant, c'est une rencontre magnifique.
Le net est un facilitateur de rencontres improbables : j'ai moi même participé à ce débat intitulé 'les rencontres du net, enjeux et débats' , une nuit entière de discussion avec des internautes pour une fois plus anonymes ( je plaidais pour ma part pour l'abandon de l'anonymat sur le net , cause de non-crédibilité à mon sens ) et bien croyez moi : pour la plupart des gens, l'écrit est facile quand la parole est difficile.
Bonjour, j'ai découvert TBE depuis peu et j'y ai déposé mon roman. Au gré de mes pérégrinations sur ce site, je suis tombé sur cette file de discussions, dans laquelle je viens m'immiscer si vous le permettez. Je voudrais dire que je suis plutôt d'accord avec Missette. Facebook! C'est le miroir aux alouettes à mon sens. J'ai l'impression qu'on y perd son temps et même son âme. Mais peut-être que je me fais des idées et que c'est moi qui ne sais pas bien utiliser cet outil. Pour revenir au sujet original, j'ai commandé mon livre et effectivement le papier est très fin mais je le trouve de bonne facture.