Bonjour Chelt, La dernière fois que j'ai obtenu cette réponse, le livre était encore en accès privé. Son auteur peut l'avoir retiré pour révision, par exemple. Si c'est un livre à toi, c'est différent. Attendons la réponse de Maître François , dans ce cas. Bonne Année !
Dans tous les cas, si tout évolue comme nous le souhaitons, le moteur de recherche devrait être remplacé car il n'arrive pas à gérer les apostrophes. Je ne peux pas vous annoncer d'échéance mais cet élément fait parti de la liste des changements importants à effectuer cette année. L'idéal serait une recherche avancée avec filtre ect...
ET ouai ! C'est compliqué la vente en ligne, faut des informaticiens, de la maintenance, sans compter la base de données qui augmente, etc, etc ...
En rajoutant le client qui n'a pas la bonne carte ou qui panique devant le process, ahahahah !
Le petit site d'éditeur, c'est plus simple, mais la visibilité n'est pas la même.
Au fait, à quoi sert une excellente visibilité, si la promotion n'est pas faite en amont : question subsidiaire, non ?
C'est un peu comme pointer sa fraise illuminée sur un salon du livre où personne ne vous connait ! Trés agréable de passer une journée à mater l'auteur d'à côté signer sa prose, tout ça parce qu'il a bénéficié d'un article du journaleux local.
Bah, il n'y a pas que pour les autoédités ! Jetez un oeil chez Wrath où l'on se jette réguliérement de l'EdiStat à la figure : même chez Gallimard, les ventes réalisables par un nouvel auteur inconnu sont anecdotiques.
Le gagnant ''nouvel auteurs '' chaque année, arrive seul à vendre des milliers des livres, mais à quel prix, dirais-je !
ET encore, lorsqu'on dit lire, c'est un bien grand mot ! Ils achètent des livres pour les offrir, pour décorer leur biblio, pour avoir l'air dans l'ére du temps...j'ai rencontré des gens lors de soirées qui avaient acheté mes livres et qui six mois après, n'avaient toujours pas plongé le nez dedans, manque de temps, le boulot, les gosses à torcher, etc ...Mes diatribes politiques chez le Monolecte par exemple, font vendre, mais c'est le tribun qui éveille l'intérét, pas les romans en eux-mêmes.
Je crois que le statut d'écrivain ayant quelque chose à dire sur ses contemporains, demande une sacrée dose d'humour et de cynisme de nos jours.
La trêve des confiseurs est toujours un moment intéréssant, comme disait Lavilliers : c'est le moment où les blaireaux fraternisent, dab y se détestent, là y s'embrassent...A pas rater en terme d'étude comportementale.
On notera que 2010 aura commencé trés fort chez les internautes littéraires, que ce soit chez Wrath ou chez critiques libres, ce fut plus rock que valse.
Autrement que dire de 2010 ? On attend 1 million de chomeurs qui vont gouter aux joies de la fin d'indemnisation, les cyniques me rétorqueront que c'est moins dramatique qu'en Espagne où 40% de la population est en train de plonger( et on nous emmerde avec une grippe bénigne).
Ouai du coup, je sais point si le Beaujolais nouveau va se fêter dans les rues de Paris, à moins d'inviter des nouveaux SDF à trinquer, quoique vu la température.
Bref, le Novi 2010 déclare solennellement que cette nouvelle année ne s'annonce pas seulement médiocre, mais probablement sinistre. ( chez ma copine du Monolecte, les gôchistes s'excitent comme dab, ça les occupe, bof).
Bref encore donc, l'inspiration quant à écrire des livres subversifs, sociétalement marqués, hein !
Maintenant lorsqu'on apprend cette formidable nouvelle que ce ne serait pas le Napoléon hexagonal qui aurait sauvé les banques, mais la manne financiére du narcotrafic.