Une fois par semaine, les mercredis jour libre des enseignants, ils aiment lire par nécessité à la préparation de leurs cours, c'est le jour préférable de faire mettre ce genre d'annonce, il y a aussi certains lundis.
Dans les annonces classées du 'Le Parisien' par quatre semaines pour un montant de 50 euros dans la catégorie *annonces classées*
Se faire connaître par les ouï-dire des lecteurs du 'Le Parisien' selon un tirage quotidien d'environ 165.000 exemplaires.
Cette idée m'est venue en comparaison des coûts indispensables et temps passé en promotion de son écrit...
Ceci dit en parfaite relation d'amitié, Hubert,
------------ correction le 02 avril 2010 ------------
Je suis franchement désolé, mais je n'aie absolument rien compris à votre message, pas plus qu'au message bis.
S'agit-il de s'abonner au 'Parisien'? Dans quel but? que viennent faire les enseignants dans cette triste histoire? Et TBE dans tout ça ? Bon, je suis peut-être trop fatigué ce soir, pour avoir compris le message, merci d'éclairer ma lanterne. Cordialement.
Ah oui! Le décalage horaire, ça c'est terrible, ont a des fois l'impression d'être dans un autre univers, d'où les problèmes de compréhension des choses, même les plus simples.
Il s'agit de la rubrique 'La promotion de votre livre' mon essai par une annonce payante dans le journal quotidien 'Le Parisien' n'ayant pas trouvé dans un autre des principaux quotidiens. Je ne crois pas au tout pour rien, mais investir, Hubert,
Ici, ma première expérience sur le forum de TBE ainsi veuillez m'excuser, j'ai démontré l'utilisation du moyen d'annonces habituelles avec ce quotidien découvert dans un kiosque, sans aucune préférence.
Après avoir écrit mon récit j'ai suivi le chemin classique des éditeurs, lu les articles d'enseignements et surprise ce n'est pas facile, beaucoup connaissent cela...
Maintenant, je suis dans le système original de TBE où il faut s'occuper de se faire connaître en considération de sa situation personnelle, encore lire et s'informer, attention...
Voilà, dans la toile sans s'entremêler...
Les grands, Balzac, Hugo... Aimeraient, eux, nos moyens et techniques d'écritures pour le bien public, mais, hélas! d'autres, parfois, par le pire de l'espèce humaine...