Editer un roman sentimental via 'les nouveaux auteurs'

 La promotion de votre livre   Débuté par Christophe Luquiau   2010-03-11 00:00:00 +01:00   Messages 19    Vues: 4186

  1. Christophe Luquiau
    Christophe Luquiau Membre Quelque part sous terre
    Bonjour.

    Voici un message envoyé par 'Les nouveaux auteurs' qui peut peut-être vous intéresser :

    AUTEURS (amateur ou professionnels) :
    Nous vous informons du lancement (en grande distribution : supermarchés/hypermarchés/maisons de la presse) d'une nouvelle gamme de littérature sentimentale en format poche : PASSIONATA (édition à compte d'éditeur) Les romans sélectionnés bénéficient de mises en place importantes comprises entre 6000 et 10000 exemplaires. Les auteurs sont rémunérés en droits d'auteur.

    Plus d'info sur : www.editions-passionata.com

    TENTEZ VOTRE CHANCE (en envoyant votre manuscrit ou votre projet directement sur le site) OU INFORMEZ VOTRE ENTOURAGE DE CETTE NOUVELLE OPPORTUNITE D'ETRE EDITE !


    Le livre Post vitam

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    Le livre Le grand chambardement.

    Le livre Petites histoires de familles.
    Christophe Luquiau, 2010-03-11 19:08:18 +01:00
  2. novi
    novi Membre
    Passez moi un message sur FB et je vous ''édifierai''sur les réalités des contrats proposés par les ''nouveaux auteurs'' ( des amis y sont,je vous dirais les noms et les chiffres ).

    En gros, si vous voulez voir votre nom affiché partout :super ! signez tout de suite !

    Mais si vous voulez être rémunéré :oubliez !hahhaahahh...
    novi, 2010-03-11 19:16:44 +01:00
  3. cyriellewalquan
    cyriellewalquan Membre viller
    Alors ce ne serait pas sérieux ? J'ai envoyé l'un de mes manuscrits, c'est totalement le genre de mes bouquins et ça manque je trouve en France. Y'a que Harlequin sur le marché il me semble.
    cyriellewalquan, 2010-03-12 10:58:08 +01:00
  4. novi
    novi Membre
    Si c'est très sérieux, Cyrielle :gros tirage assuré et distribution dans tous les gros points de ventes - le rêve pour être lu par le plus grand nombre.

    Ils ont un concours polar tous les ans avec un jury populaire du style qui lit Chatam ou Nothomb, bref du tout venant ( les profils sont publics style prof, employé,etc, la France de RMC info quoi), je connais l'ex-gagnant, l'ai côtoyé chez PolarNoir. Il a gagné de quoi se payer une Megane cabriolet, son rêve à lui, fait la bise à Beigbé (son rêve aussi)..., et s'est grillé du vrai polar.

    C'est le lectorat de Elle, femmes actu ,etc avec Paulo Coelho (titré l'écrivain le plus con du monde par la presse unanime).

    Le contrat ( je l'ai) est plus sybillin, d'ailleurs il n'est pas public. Les 100 premiers livres vendus sont cadeau, puis pourcentage naze ensuite. Ils ne suivent pas leurs auteurs mais les grillent, passant au suivant l'année d'après.

    Voila, c'est un choix qu'il faut faire en toute connaissance de cause.
    novi, 2010-03-12 11:33:20 +01:00
  5. Christophe Luquiau
    Christophe Luquiau Membre Quelque part sous terre
    Cher Novi.

    Ce n'est pas la première fois que je constate (ou m'imagine) un certain mépris pour ceux qui cherchent à être lu sinon à tout prix, au moins à tout petit prix. Si je respecte l''écrivain' que vous semblez être, il me paraît pourtant évident que TBE a aussi pour vocation de permettre à tous de partir à la conquête de ce si fascinant et mystérieux lectorat extra-familial. Certains d'entre nous savent n'être (ou feignent de le croire) que de simples écriveurs d'histoires, de poésies, de nouvelles... et n'ont d'autre but que d'être lu, sans exclure aucun lecteur-type. Faute de talent on peut aussi écrire pour le plaisir et ne prétendre que de le partager avec le plus grand nombre. Et, pour ma part, sans aller jusqu'à me sur-maquiller et glisser mes bourrelets dans une mini jupe qui siérait mal à ma pilosité hivernale, je n'ai rien contre les lectrices de 'femme actuelle', les profs ou autres mangeurs d'encre.
    Bien sûr, comme beaucoup je pense, j'aimerais vivre de ma plume, mais combien d'entre nous en ont les moyens littéraires et la foi idéologique ?

    Veuillez par avance excuser ma méprise si mon impression était erronée.

    Allez, encore un coup de pub :
    Le livre Post vitam

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    Christophe Luquiau, 2010-03-12 12:53:26 +01:00
  6. novi
    novi Membre
    Non, ce n'est pas du mépris puisque je sais faire la différence entre l'auteur et ses livres, et ce, dans ses choix.

    Exemple, j'ai été voisin de G de Villiers et je peux vous garantir qu'il s'agit d'un homme cultivé , charmant, et donc très loin du portrait qu'on lui tire régulièrement en se basant uniquement sur sa production littéraire, qu'il a voulu justement,pour pouvoir en tirer de substantiels revenus, écrire de la façon la plus basique possible : sujet verbe Cod, et thèses graveleuses à la portée du quidam moyen. Je citai ci-haut : Lefevre, le lauréat NA que j'ai souvent côtoyé. Un grand connaisseur du polar, mais qui a préféré sacrifier une carrière sur le long terme à un petit succès facile à très court terme. Il écrit probablement beaucoup mieux que le manuscrit qu'il a envoyé aux NA - il a simplement ciblé, s'est mis au niveau de ce qui était demandé par le jury, a lu entre les lignes éditoriales comme on dit.

    Certes, le choix entre devenir Ecrivain et auteur à succès n'est pas nouveau ; il est aussi ancien que le marché du livre. Il y a même des exemples d'auteurs ayant réussi les deux, en écrivant sous fausse identité pour certains éditeurs, et se réservant un nom ailleurs pour la postérité.

    Cependant, si mes propos ont été acerbes, c'est juste qu'il est important de mettre à jour certaines politiques éditoriales qui arrivent par trop masquées.

    SI vous pensez - sans péjoratif aucun- vous amuser, si il vous plait, d'écrire du Harlequin : alors les NA, c'est le top ! Mais si vous prétendez à un moment, vous inscrire de façon authentique dans un genre : c'est la pire chose à faire.

    Exemple autre : l'humiliation qu'un excellent et authentique auteur peut en retirer - Paul Colize ( on se déteste lui et moi ) est un très bon auteur,niveau pro ..., or il a juste été retenu chez les NA, quand Lefevre, simple amateur, a gagné ! bravo le jury...

    Bon pas fou non plus, Colize n'avait pas présenté son meilleur livre.
    novi, 2010-03-12 13:33:48 +01:00
  7. novi
    novi Membre
    Au fait, Christophe,

    Pendant que j''y pense en voyant votre livre en bannière : 289 pages en 11X17, c'est déjà respectable (un vrai livre) et il me souvient avoir parcouru vos extraits intrigué par le quatrième de couv'' ...Si mes souvenirs sont bons, ça mérite peut-être beaucoup mieux que les NA ? Non? Pourquoi ne pas viser un véritable éditeur de polar...
    novi, 2010-03-12 13:41:48 +01:00
  8. Christophe Luquiau
    Christophe Luquiau Membre Quelque part sous terre
    Merci Novi (sans épanchement...).

    J'essaye, je vous assure que j'essaye. Ne connaissant hélas pas grand chose au monde de l'édition, il m'est difficile de distinguer le bon grain de l'ivraie, c'est pourquoi j'ai comme beaucoup commencé par baguenauder sur les trottoirs des grosses maisons avant de m'orienter vers les moins grosses, pour ensuite me précipiter comme un moustique assoiffé vers n'importe quelle fenêtre ouverte. Finalement merci TBE de me permettre, comme je le disais dans l'interview d'Annie, d'avoir autre chose qu'une rame entière de A4 à me mettre entre les mains et celles de mes proches. Quant aux nouveaux auteurs c'est surtout la possibilité de faire lire son manuscrit à un groupe de lecteur qui m'intéressait.
    Je comprends votre réserve concernant ceux qui adaptent leurs écrits à une prétendue ligne éditoriale, personnellement je n'écris que pour me contenter dans un premier temps, ensuite si ça peut plaire à tel ou tel éditeur, je ne vais pas me priver de partager. De toute façon pour l'instant...

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    Christophe Luquiau, 2010-03-12 14:51:36 +01:00
  9. novi
    novi Membre
    '''c'est surtout la possibilité de faire lire son manuscrit à un groupe de lecteur qui m'intéressait.''

    Une réserve toutefois. Il ne suffit pas à mon avis de faire lire son livre par n'importe quel lecteur et c'est là que la connaissance approfondie du genre dans lequel on veut exercer, devient primordiale.

    Le polar, c'est si vaste qu'entre un amateur de Vargas ou Thilliez, en passant à la classe au dessus avec DOA..., et des spécialistes se revendiquant de Vautrin, Jonquet..., pire Sallis ou Lee Burke, et je vous parle pas des esthètes du roman noir - il faille vous situer à fin de cibler le lecteur correspondant à ce que vous écrivez. On ne peut prétendre au meilleur du lectorat et au plus grand nombre des lecteurs : c'est antinomique par excellence.

    Le jury des NA lorsque je le raille, c'est qu'il ne s'agit pas d'un jury de cours d'assises ; vous ne pouvez pas récuser ceux dont le profil de lecteur à l'évidence se situe à l'opposé de ce que vous écrivez. C'est le drame de ce genre de concours, il s'agit de figures imposées par avance qui correspondent juste à un état du marché du livre à un moment donné, et dans ces conditions, ils découvriront jamais aucun auteur novateur ou talentueux ( c'est du clonage de...).

    Exercice marrant lorsque vous rencontrez un inconnu qui vous dit avoir apprécié votre livre (ou pas): interrogez le finement sur ses lectures, sur sa culture vis à vis du genre, et si par hasard, il vous cite deux ou trois auteurs qui vous ont inspiré vous -même. N'est-ce pas là, le plus magnifique compliment que peut recevoir un auteur, l'assurance obtenue de manière discrète qu'il est dans la bonne voie, la sienne.

    Pour la petite histoire, mon premier manuscrit envoyé pour simple avis à une spécialiste, était une merde mal rédigée et brouillonne sur le propos. Elle m'a dit d'une voie rugueuse -mon petit, va falloir apprendre à faire un crépi, mais c'est marrant, tu m'as rappelé Arnaud (personne connait Arnaud)! Ce jour là, j'en avais plus rien à foutre d'en vendre 1000 ou 10 plus tard(surtout à la sauvette), je savais enfin où j'allais, et qui j'étais.

    En espérant vous avoir aidé avec ce simple point de vue sur un sujet si complexe.
    novi, 2010-03-12 15:45:35 +01:00
  10. Annie
    Annie Membre Angoulême
    Christophe, pour une fois Novi a presque raison : tu mérites mieux que de la guimauve. Je comprends ton impatience.
    Ce que j'ai aimé dans ton bouquin, c'est le spleen , la planante métaphysique un peu trash, c'est ce que tu as à dire et que tu dis bien. Si tu te mets à faire du Marc Lévy, tu auras à ranger le fond pour domestiquer la forme. C'est ton choix, mais ce serait dommage.
    Si Philippe Parrot a réussi à vendre 1000 exemplaires de son premier livre sur TBE, pourquoi pas d'autres ? Son secret : lui-même. Il s'investit en personne. Il est vendu chez Auchan et à la FNAC près de chez lui, il fait tous les salons dans l'allée centrale la plupart du temps, à discuter avec les lecteurs, il utilise Facebook... 1000 exemplaires aujourd'hui, chez un éditeur, c'est pas mal.
    Annie, 2010-03-12 16:42:51 +01:00
  11. novi
    novi Membre
    Un primo auteur chez FleuveNoir aujourd'hui, c'est entre 1000 et 2000 ventes, pas plus ! De toute façon, c'est le tirage maxi. Puis l'éditeur passe à un nouvel auteur et ainsi de suite.

    Cela peut valoir un échec retentissant : voir Ingrid Astier à qui la presse unanime demande de retourner à ses livres de cuisine et ne plus jamais foutre les pieds dans le polar. Bien fait, ça lui apprendra à copiner avec un directeur de collection encore plus stupide qu'elle...

    Arrêtons de croire qu'être publié chez un grand éditeur puisse régler quoique ce soit. Autrefois, être publié chez Fleuve Noir : c'était la gloire, les trompettes de la renommée...Aujourd'hui, c'est la honte.
    novi, 2010-03-12 17:51:00 +01:00
  12. Christophe Luquiau
    Christophe Luquiau Membre Quelque part sous terre
    Merci Annie, vos compliments sont toujours si agréables à entendre.

    Justement dans l'interview que je vous donnais (et que je n'omets jamais de rappeler au souvenir de chacun, cabot que je suis...) je vous disais n'être pas à l'aise à l'oral car d'une timidité presque maladive. Loin de moi donc l'idée d'aller faire du porte à porte pour tenter de vendre mon livre, l'exercice me gêne déjà par le biais du net. En revanche j'ai essayé facebook, mais la plupart des éditeurs et librairies qui se proposent à vitesse grand V comme 'zamis' virtuels, ne cherchent (eux aussi ) qu'à agrandir leur vitrine, pas leurs bacs. Pas très interactif tout ça. Quant à Lévy, je ne pense pas que son (non) style soit lié à son éditeur, je ne suis pas près à modifier mon roman pour qu'il convienne à un éditeur, mais si l'un d'eux l'accepte en l'état, pourquoi ne pas accepter ?

    Le livre Post vitam

    Le livre Post vitam
    Christophe Luquiau, 2010-03-12 18:24:28 +01:00
  13. synovie
    synovie Membre Drôme
    Effectivement, je suis de l'avis d'Annie, vos extraits m'ont interpellée. On sent une plume originale !
    Cordialement à vous
    Edmonde
    synovie, 2010-03-12 19:05:41 +01:00
  14. novi
    novi Membre
    C'est pas très important, Christophe.

    Moi non plus, on ne me verra pas faire le guignol dans les allées d'un salon pour fourguer quelques livres à la sauvette; c'est ridicule et ça ridiculise la littérature - y a des foires aux bestiaux pour ça. Je précise que j'ai sévi sur les marchés de France durant 7 ans, et je vendais des tapis en costume cravate, ça s'appelle aussi le respect de la clientèle ( le racolage dans les allées est interdit et considéré comme honteux sur les marchés). Mais bon, chacun voit midi à sa porte et tant mieux si Annie est ravie.

    FaceBook n'est pas trop fait pour vendre directement (un peu, j'ai vendu un livre à une journaliste cet aprêm, pour un article dans son canard local),mais pour 'rézoter', lier des contacts avec des libraires (y a plein ), des petits éditeurs, et surtout se faire connaitre; c'est une avancée fantastique par rapport aux forums où on touchait trop peu de gens. Sur FS,l'efficacité est énorme.
    Par exemple je n'ai jamais collaboré avec aucun auteur chez TBE (ils sont obsédés par la vente de leurs bouquins respectifs); Sur FB, j'échange avec des auteurs sur des projets de livres en cours, et c'est vraiment créatif, passionnant.

    Faudrait qu'on trouve un système de distribution mutualisé via FB pour bosser avec tous ces libraires qui cherchent des bouquins à la marge, y a un truc à creuser et faut continuer de se fédérer derrière les groupes Rusbee Leguelleck , Martial et ses auteurs indépendants, plus Paskal Carlier..., ça monte, ça monte la fréquentation !
    novi, 2010-03-12 19:19:50 +01:00
  15. Christophe Luquiau
    Christophe Luquiau Membre Quelque part sous terre
    Merci de ces paroles bien sympathiques Edmonde.

    Vos épanchements de Synovie (que j'ai prémonitoirement cité dans un jeu de mot honteux en réponse à Novi ) m'intriguent et je ne manquerais pas de m'y pencher.

    Pour poursuivre la page 'web' et rebondir sur le message de Novi, comme je le disais précédemment les libraires et petits éditeurs qui s'ajoutent sur facebook, ne me paraissent pas très enclins à s'intéresser aux ouvrages autres que les leurs, mais je peux me tromper. 'Trop impatient' dirait Annie.

    Le livre Post vitam

    Le livre Post vitam
    Christophe Luquiau, 2010-03-12 23:23:23 +01:00
  16. novi
    novi Membre
    '''''les libraires et petits éditeurs qui s'ajoutent sur facebook, ne me paraissent pas très enclins à s'intéresser aux ouvrages autres que les leurs, mais je peux me tromper. 'Trop impatient' dirait ''''

    SI, bien sûr que si !

    Pour l'instant, c'est un peu nouveau cette mise en relation subite. Avant , on ne se parlaient pas .Jamais !

    Aujourd'hui, comment expliquer que quelqu'un comme moi, dont la violence des propos à l'encontre des éditeurs et des libraires est légendaire sur le ouébe..., ne reçoive aujourd'hui ,pratiquement aucun refus d'invitation. J'invite à tour de bras ayant enfin compris tout l'intérêt de la démarche, et eux acceptent en masse, parce qu'ils ont bien intégré que mes diatribes concernaient un système, pas des individus.

    Les éditeurs aussi sont dans la merde, voir les bilans, et tous ceux qui capotent. Ils ne reçoivent pas forcément les manuscrits qui les intéresseraient. S'en foutent du style, du livre bien écrit, y a pléthore aujourd'hui ; ils veulent de l'innovant,du nouveau, de l'inédit, du qui peut prendre la concurrence à revers.

    Jérôme Cayla me parle aujourd'hui, après quelques premiers échanges houleux - lui, le chantre de l'intégrisme éditorial, l'ennemi de l'auto édition de masse.

    Des libraires interrogent subrepticement sur la nature des livres en lice. Seulement,il y a un problème de taille : comment faire pour travailler avec eux ???????? Très compliqué !

    Nous ne sommes ni sur Electre ni Amazon, et même le plus petit des libraires est informatisé pour sa gestion comptable,sic ! ET j'oublie la problématique de la marge, des tarifs, des frais d'envois sans logistique appropriée, les retours d'invendus ....

    (Rectificatif : Par 'nous ne sommes', j'évoque le système de l'auto édition actuelle, en occultant bien sûr que certains d'entre nous disposent de ces référencements par le biais d'une édition classique par ailleurs).
    novi, 2010-03-13 09:35:24 +01:00
  17. Annie
    Annie Membre Angoulême
    Annie, 2010-03-13 09:56:22 +01:00
  18. novi
    novi Membre
    Oui, merci Annie,

    En fait, mon propos était mutualiste en pensant à mes collègues auteurs auto-édités seulement et ne disposant donc pas de ces référencements presque obligatoires pour aborder le marché du livre de nos jours - Christophe peut-être, puisqu'il semble être en recherche d'un éditeur.

    Sur la communauté Facebook que nous formons aujourd'hui par le biais de trois groupes convergents, on se retrouve devant des situations disparates allant du Thebookien pur, à ceux qui sont à cheval sur deux systèmes, d'autres déjà eux mêmes mini éditeurs,etc...

    Ce qui peut expliquer le trouble ressenti par les professionnels devant cette armée des ombres qui occupe le terrain sous des drapeaux si divers.
    novi, 2010-03-13 10:10:11 +01:00
  19. Christophe Luquiau
    Christophe Luquiau Membre Quelque part sous terre
    Bon je vais réviser mon jugement alors... et tenter de récupérer les 'zamis' éditeurs et libraires que j'ai piteusement rayé de mes listes ( s'en sont-ils seulement rendus compte ? A 3500 'zamis' de moyenne, cela m'étonnerait fort...), lassé du manque de réciprocité des échanges.

    Sinon - mais peut-être ne suis-je plus sur le bon post - je suis en attente de décision depuis des semaines pour être 'zami' avec TBE. Je suis certes 'fan' (yep !!) mais toujours pas 'zami' ; est-ce normal ?


    Le livre Post vitam

    Le livre Post vitam
    Christophe Luquiau, 2010-03-13 11:36:07 +01:00
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