on a fini par tomber d'accord finalement !!! L'auto édition c'est pas mal je pense qu'effectivement si la forme de notre livre est irréprochable çà peut fonctionner, il faut croire en nos rêves car sans eux que serions nous ? personnellement, j'attends pour ma part mon numéro isbn et le dépot légal pour ensuite aller présenter mon bouquin euh chez des gens lol bon enfin pour l'instant mon livre n'est plus sur le catalogue car je le travaille et le retravaille voilà
Bravo à celles et ceux qui s'investissent ! C'est ainsi que l'autoédition trouvera ses marques de noblesse. Elle n'en aura que plus de mérite et pourra s'afficher fièrement.
tu as vu le chantier sur mon livre (oui je sais) pourrais tu stp me dire approximativement combien tu prendrais pour faire la correction intégrale de mon roman ? (bcp de boulot je sais aussi) merci de m'avoir corrigé mon extrait, je comprends mieux mais je m'y perds un peu dans les temps et j'ai peur de mettre un s ou il en faut pas et vise versa merci d'avance amicalement
L'auto édition est beaucoup mieux je pense pour les auteurs inconnus, mais il est vrai que le roman auto-édité doit être sans 'fausses notes'. Il est très important de faire relire son tapuscrit, parce que même si VOUS vous le relisez, vous ne verrez pas vos fautes aussi bien qu'un oeil extérieur.
Mes trois premiers romans édités à compte d'éditeur ont été relu par mon ami qui écrit pour des personnes (cela s'appelle être nègre)et qui est écrivain. Son oeil est perçant pour découvrir les fautes qu'elles soient d'orthographe, de syntaxes ou autres et il est d'excellent conseil. C'est vrai que connaître une telle personne pour un auteur est fantastique. Pour mes autres romans à venir il sera aussi mon correcteur.
Je voudrais revenir sur l'édition à compte d'éditeur. Savez-vous que je regrette vraiment que mes trois premiers romans soient ainsi, parce que l'éditeur vous promet de tout faire pour vous faire connaître que ce soit par la presse ou autre, mais en définitive c'est vous qui faites le travail de votre promo, sinon il ne se passe rien. C'est grâce à mon site, à ma promo personnelle, aux salons du livre régionnaux que je réussis à me faire connaître, et maintenant que j'ai connu TBE cela va m'aider encore plus par rapport à la liberté d'action. Quand vous êtes à compte d'éditeur (je le ressens comme ça) vous êtes pieds et poings liés avec lui.
merci pour toutes ses précisions, il se peut alors que j'enjolive les maisons d'édtions à compte d'éditeur, quand tu dis que tu es poing et pieds liés, peux tu préciser ta pensée ? tu sais moi la promo je peux la faire moi même çà ne me gêne pas je pensais qu'au niveau qualité du livre les deux se valaient (auto édition et maison d'édition) qu'il n'y avait pas bcp de différences, tu peux m'expliquer ton expérience qui peut être utile pour d'autres merci
Dès que tu le souhaites, repasse me voir, faisons un 'essai' sur quelques pages...si tu préfères, avant de te 'lancer'!:-) Bravo pour ta lucidité, tes vérités qui, effectivement, manquent, à mon goût, à certains auteurs qui ont des choses intéressantes à raconter, à narrer, à exprimer, à décrire, bref...des émotions, quelles qu'elles soient, à transmettre au lecteur, mais qui ne veulent en aucun cas remettre en question certaines de leurs lacunes de 'forme', et je trouve cela dommage...si nous pouvons nous entre-aider, pourquoi s'en priver??.......
Lorque je dis que je suis pieds et poings liés cela veut dire qu'une fois que tu as signé le contrat à compte d'éditeur tu es obligé de rester chez cet éditeur à vie. Bien évidemment si il ne se passe rien, aucune vente ou très peu tu peux demander la résiliation du contrat, mais ce n'est pas toujours évident. En ce qui me concerne je vais essayer de résilier ce contrat qui me lie à mon éditeur pour mes 3 premiers romans, car cet éditeur n'a absolument rien fait pour la promo alors qu'il est bien stipulé dans le contrat qu'il s'engage à envoyer des exemplaires à la presse susceptible d'être intéressée par les romans et de nous aider par tous les moyens. Lorsque mon premier roman est paru mon éditeur commençait seulement à avoir 'pignon sur rue'. Donc tout était fait pour nous accrocher, il ne demandait aucune participation financière (ce que je trouve d'ailleurs normale, le contraire est une arnaque), invitait ses auteurs au Salon du livre de Paris etc..., Mes 2ème et 3ème romans ont été édité chez le même puisqu'il s'agit d'une trilogie, donc c'était logique, mais sincèrement je le regrette car aujourd'hui je suis un auteur noyé dans la masse du catalogue, je ne touche que 10% du H.T du Prix public autant dire une misère, je n'en suis pas encore à vendre des milliers de livres! Ce que je veux dire c'est que aujourd'hui cet éditeur est comme tous les autres, il ne fait strictement rien pour votre promo, il empoche les royalties de vos ventes, c'est lui qui est gagnant.
J'ai eu pas mal de réponses d'éditeurs à 'compte d'éditeur' mais la plupart demandaient une participation financière qui pouvait aller pour certains jusqu'à 4000 euros. Il est clair qu'il NE FAUT SURTOUT PAS ACCEPTER cette manière d'être édité, c'est tout simplement du vol. Si le Comité de Lecture a lu votre livre et qu'il le trouve très bien et correspond à la ligne éditoriale alors il n'y a aucun raison de demander une participation, ou on croit en son auteur et on fait tout pour qu'il sorte de l'ombre sans lui demander d'argent, ou on n'y croit pas et on ne propose pas de l'éditer.
TBE est pour moi aujourd'hui une porte ouverte à la réussite. Si on est consciencieux par rapport à son ouvrage, si on suit scrupuleusement les étapes pour que le livre soit parfait couverture et contenu (sans fautes d'orthographe, de syntaxe, de temps, etc...) c'est un moyen, à mon avis, beaucoup plus performant pour arriver à notre but, c'est-à-dire se faire connaître.
Début Mars sur TBE paraîtront mes Nouvelles sur les FEMMES. Je suis entrain de peaufiner la couverture et le tapuscrit est à la correction. Je réfléchis à toutes les possibilités existentes pour faire la promo et ma liste ne cesse de s'agrandir. Je pense que l'on a plus de faciltié et de possibilités d'ouvertures avec l'auto-édition qu'à 'compte d'éditeur'. Mais c'est vrai que c'est un travail de longue haleine et il ne faut espérer des retombées de suite, mais si vous êtes battants, si vous avez envie que des lecteurs lisent et apprécient vos écrits il faut s'en donner les moyens. La presse locale qui peut, en faisant un article sympa sur la sortie de votre livre, vous faire connaître, les Salons du Livre régionnaux qui sont une opportunité pour rencontrer des lecteurs potentiels, etc...
Une grande majorité d'auteur édité qu'il m'arrive de fréquenter sur des forums dédiés, sont loin d'étre tous aussi sincéres quant à leurs aléas avec leurs éditeurs resppectifs.
Avec un peu de méchanceté nécessaire, je dirai pour les connaitre un peu, que la plupart n'ont été attiré par l'écriture que pour l'égo et non point pour en vivre, ou encore apporter une pierre à l'édifice.
Sinon, ils auraient tenté les circuits de l'auto-édition pour toutes les raisons que Loula vient d'évoquer.
ET que l'on ne me dise pas les habituels 'bla-bla' destinés à défendre le soi disant professionnalisme des éditeurs.
Je cite L'hebdo Marianne qui lapide les auteurs de polars actuels :
''' En france dans les années 70,une poignées d'auteurs inventaient le néo-polar. Trente ans plus tard, il n'en reste quasiment plus rien et le morne paysage du polar hexagonal semble partagé entre des produits formatés et des veilles recettes d'artisans usés.''
Voila la réalité de l'édition actuelle et lorsque c'est un grand média qui le dit .....
Voila un vrai manifeste pour l'auto-édition ; n'ayons pas peur pour ceux d'entre nous qui savent leur ouvrage capable ;
et vous verrez que beaucoup de ces auteurs 'auto-proclamés' par des comités de lecture corrompu, sont trés loins de pouvoir se confronter à certains livres auto-édités.
Puisque l'on parle ici de qualité, pourquoi ne pas revenir aux principes de base utilisés par les spécialistes de la qualité ?
Ils utilisent des 'cercles de qualité', et parlent de 'chaine de qualité'.
Prenons l'exemple de la photo. Une photographie réussie demande une qualité correcte tout au long de la chaine. Il faut d'abord un appareil de qualité, donc un objectif de bonne qualité optique, et une électronique précise. Il faut aussi un bon photographe. Il faut une bonne lumière. Il faut un bon sujet et enfin une bonne imprimante, du bon papier photo. C'est le maillon faible de cette chaine de qualité, qui détermine la qualité de l'ensemble. Rien ne sert d'avoir un bon appareil, si le photographe fait un bougé à chaque photo.
Et c'est au bout de la chaine qu'on mesure la qualité.
C'est pourquoi dans les cercles de qualité, on fait intervenir le client : c'est lui qui, étant en bout de chaine, donne l'avis le plus important.
Je me rappelle que Monsieur Bergougnoux, alors Président de la SNCF, avait rappelé ce fait élémentaire dans un des cercles de qualités qu'il supervisait. On avait oublié le client ! Tous les personnels SNCF étaient finalement satisfait de leur travail, les employés parce qu'ils l'avaient exécuté, les chefs parce qu'ils en étaient responsables, tout le monde était content ! Mais on n'avait pas demandé l'avis du client. Même les statistiques de retard de train, étant faites par des personnels couverts par des chefs qui ne voulaient pas faire de vagues...
Alors, plutot que de se disputer entre auteurs, correcteurs, éditeurs... pourquoi ne pas demander l'avis du lecteur ?
Le lecteur n'est pas plus bête que nous à priori. Pour quelle raison ne serait-il pas capable, de juger de la qualité d'une oeuvre qu'il a choisie ?
C 'est pour ça que j'avais proposé un système de notations au moyen de quatre étoiles, comme chez Allociné :
Le fond : **** La forme : ***
Avant que l'informatique ne permette de faire un tel sondage facilement, il est bien évident que les éditeurs avaient leur rôle. Aujourd'hui, on peut très bien transférer ce rôle au client. Et c'est à mon avis plus démocratique.
Après ça, si un auteur constate que le lecteur juge la forme de son livre insuffisante, il pourra toujours faire appel à un correcteur. Mais si le lecteur juge que la forme est bonne, pourquoi irait-il payer ?
Prenez un type comme Cavana. Ses lecteurs l'ont plaibicité, pourtant il écrit comme on parle, et c'est quasiment du petit nègre. Et alors, si ça plait, n'est-ce pas le principal ?
PS. Lisez 'Les Ritals', et 'Les Ruskofs', vous m'en direz des nouvelles...
Vue de la fenêtre du lecteur, je vous donne à 100 % raison. J'irai même jusqu'à dire que les livres autoédités sont trop chers et je préfère les acheter d'occasion plutôt qu'au prix du neuf. Vue de la fenêtre d'un (futur) auteur, de toute façon pour débuter en dehors de TBE point de salut pour ceux qui ne veulent pas en faire un métier et ne pas investir trop d'argent dans cette entreprise qu'est la vente d'un livre.
sans vouloir froisser personne, un livre dans le format que l'on peut trouver sur tbe (je ne parle pas du format poche) il faut compter actuellement entre 15 et 20 euros dans le commerce (ou je n'ai pas les notions des prix mais je crois que c'est un peu près çà) quand on regarde les prix de ces mêmes livres sur tbe, ils tournent autour du même prix même parfois moins. Personnellement, j'ai été étonné moi du prix des livres sur tbe je les trouve tout à fait abordables même moins chers que dans le commerce.
A noter que pour un livre de 350 p, il faut compter un prix de fabrication de 15 euros donc on ne peut pas le mettre à moins et 15 euros ,pour un livre avec une très bonne qualité d'impression je trouve ce prix on ne peut plus raisonnable.
Moi qui ne suit pas trés talentueux et qui écrit comme je parles, j'ai eu la proposition d'une maison d'édition, ils m'éditent gratuitement et la seule petite contrainte, j'enlêve toutes les fautes. Tout est gratuit et le taux que je peux toucher est pas mal. C'est simple en fait, y'a pleins de choix sur internet, il faut juste trouver la bonne offre.
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