Je ne suis pas vraiment au fait des activités artisanales, mais si l'on parle de ceux du bâtiment : leur principal prédateur de nos jours, c'est le particulier bricoleur qui fait ses achats chez Leroy Merlin, non ( les français détiennent un record pour le gout du bricolage et du jardinage, il me semble - même les femmes s'y mettent selon un ami qui bosse chez Leroy, avec des cours offerts par ces magasins pour se former au maniement de la perceuse ), et hors nos anciens, la clientèle âgée ; ou encore le besoin d'une facture certifiée pour déduire fiscalement ( si l'on rajoute des métiers comme plombier qui ont radicalement évolué avec l'arrivée des conduits souples, que n'importe qui peut installer, plus besoin de braser, etc)... leur reste quoi, les appels d'offres pour des chantiers, et là ce n'est pas l'auto-entrepreneur qui pose problème.
En aparté pour ma part, c'est une grande amertume après avoir aidé tant de gens de mon ex-communauté, celles des gens du voyage, les avoir persuadé de quitter la clandestinité du travail au noir, pour se déclarer dans ce système, retrouver ainsi un brin de tranquillité, d'exister enfin socialement, pour apprendre aujourd'hui que tous ces gens seront réduits de nouveau à reprendre la délinquance.
Quant au travail au noir, le Président de la Fédération des auto-entrepreneurs, interrogé sur France-Info hier soir, abonde dans votre sens. Il appréhende que beaucoup d
Mouai, j'ai bien peur qu'au niveau des absurdités, on n'en soit qu'aux prémices ( comme la nouvelle directive de Bruxelles exigeant le contrôle technique annuel des véhicules ).
En même temps, ça semble vasouiller de tous les côtés si j'en crois Rue 89 que je parcourais cet aprem...
D'un côté, un son de voix qui dit : '''la Fédération des auto-entrepreneurs (FEDEA) annonce la mort du statut :
« Le régime sera tué car le mode de calcul des cotisations sociales sera forfaitaire. Il remet en cause le pilier fondateur du régime qui prévoyait une exonération de charges en l