Tout à fait, et j'ai par ailleurs pratiqué ce beau métier de nombreuses années, mais de façon alimentaire par contre, parce que vendre des tapis, des bijoux, ou des fringues, sera toujours plus rémunérateur que de vendre sa musique ou ses livres ( quitte à devoir s'inscrire à un registre de commerce, autant pouvoir en tirer des revenus confortables ;-)), quand, j'ai toujours réservé ma musique aux initiés ( histoire de s'éviter l'affreux blaireau affichant son immense culture d'un joyeux : ah, oui du blues comme Johnny, entre autre), et aujourd'hui ma littérature ( j'évite soigneusement de parler de littérature en société, m'en faisant une trop haute idée pour devoir la partager avec les éternels adeptes de l'auteur qui est forcément bon puisqu'il vend beaucoup ).
Et puis cher Orcus, croyez moi sur parole d'ancien forain ayant tant côtoyé ces réussites du type gloire-succés-fortune du côté des saisons tropéziennes : rien ne vaut une fortune anonyme et discrète à tout point de vue, ne serait-ce que du bon gout :-)))
Comme diraient les américains, « Point taken », Novi. Pour répondre à Annie et rebondir sur Akiko, non, je ne connais personne qui soit passé de TBE à « Très Bien Edité ». En revanche, j
Jacob : 200 exemplaires imprimés pour chacun de 2 titres, tous vendus. Didier : le même titre réimprimé 3 fois à raison de 100 exemplaires chaque fois, tous vendus.
Tous vendus, sauf les 2 ou 3 mis en présentoir chez un libraire. Des auteurs qui n
Orchus qui rebondit sur moi, cela me flatte ! Eqfm, j'apprécie que tu donnes des chiffres, je suis d'accord, c'est du concret. Félicitations pour ton travail ! J'avais du mal à chiffrer le nombre de ventes possible en auto-édition. J'y vois un peu plus clair. Merci !
Les chiffres de ventes ne nous appartiennent pas, c'est aux auto-éditeurs de voir s'ils veulent les livrer ou non. Les stats internes, ici comme ailleurs, c'est notre affaire. Le chiffre des ventes par livre ne peut de toutes façons faire l'objet d'une moyenne, car tout dépend à la fois de la qualité des livres, de leur cible, de leur style et du dynamisme de l'auto-éditeur. Un indice toutefois : ça va de 25 exemplaires au minimum à plusieurs milliers.
Comme si la donne pouvait se résumer à la qualité d'un manuscrit ;-)))
On a l'impression que vous n'avez jamais entendu parler d'une chose dénommée 'politique', et pourtant, vous devriez, parce que l'édition est l'un des milieux les plus politisés qui soit, et il me semble bien que ce soit une donne qui échappe à beaucoup de naïfs auteurs : selon que vous serez de droite ou de gauche, n'est-ce pas...Enfin, peu importe que le soyez 'réellement' , on vous étiquètera à tort ou à raison, puisque l'éditeur est comme le politicien devant son électorat ( électorat-lectorat : piège à cons ;-)))
D'ailleurs, cet excellent article soulève bien cette donne, lisez !
«Stéphane François : Effectivement, nous avons trop tendance à penser les arts comme de gauche. Les artistes ne sont pas tous de gauche : il y a eu de très talentueux à l
Histoire de consécration, voici celle d'un éditeur créé en 2010 et qui publie à tour de bras à compte d'éditeur. Un vrai éditeur avec cotisation versée (?) à l'AGESSA et droit d'auteur versé chaque mois en fonction des ventes. Des dizaines et des dizaines de books édités en moins de 18 mois. Oui mais voilà, la grogne monte en interne : -> http://joranne.blogspot.com/2011/08/comment-on-sest-fait-enculer-par-les.html
Le titre est assez explicite... Et les comms virent au règlement de compte à OK Corral. M'est avis que ce ne sera pas le dernier de ces nouveaux Editeurs à avoir les yeux plus gros que le ventre. Faut quand même le faire pour se lancer là-dedans avec un capital de 1000 euros.
L'article n'est plus dispo. Désolé. Faut dire qu'il commençait à rameuter pas mal de grogneurs. Et des menaces de la part de l'éditeur. Sachons être patient. Il m'étonnerait que cela ne refasse pas surface sous peu.
Bah, des auteurs suffisamment couillus pour aller exiger leurs droits d'auteurs le flingue à la main, ça remonte à l'après guerre...Quand de nos jours, ils se répandent en pleurnicheries sur des blogs ;-)))
Ca c'est bien vrai, çà ! D'ailleurs, les Tunisiens, les Egyptiens, les Libyens, les Yéménites et les Syriens, z'ont vraiment rien dans l'pantalon. Se servir des blogs pour pleurer leur misère ne leur réussi vraiment pas... Y z'auraient mieux fait de prendre leur calibre et régler ça dans les règles de l'art. L'après guerre tu disais ?
'''Ca c'est bien vrai, çà ! D'ailleurs, les Tunisiens, les Egyptiens, les Libyens, les Yéménites et les Syriens, '''
Amusant, cette naïveté du citoyen occidental ;-)))
Les Tunisiens et les Egyptiens ont bénéficié du soutien de l'armée, qui s'est gardée d'intervenir. Amusant lorsqu'on sait que leurs généraux sont ceux là mêmes qui recevaient leurs ordres des américains pour 'traiter' les cas non traitables dans les geôles de la très civilisée Amérique.
Quant à pouvoir imaginer qu'une bande de va-nu-pieds Lybiens n'ayant jamais touché un flingue de leur vie ont pu apprendre si vite à maitriser un tant soit peu une stratégie militaire (au niveau de tirs d'artillerie par exemple) Hahahahaahahahah, et vaincre une armée de mercenaires aguerris ! Hahahahahah, la bonne farce qui passe sous un silence pudique des envois d'armes massifs, et surtout des formateurs anglais, américains et français ( à mon modeste avis, Cercotte devait être très vide de ses effectifs ces derniers temps).
Bon, tu excuseras l'aparté, camarade Salaber, mais il y a des fous rires irrésistibles ;-)))